1. La naufragée de la route (4)


    Datte: 26/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Elyne, Source: Xstory

    ... remédier...
    
    — Debout Elyne ! Je voulais te faire découvrir progressivement l’univers qui sera dorénavant le tien, pour que tu t’y habitues, mais tu ne me laisses pas le choix. Tu m’obliges à employer la manière forte.
    
    Elyne s’est relevée, et une expression de terreur gagne son visage, au fur et à mesure qu’elle découvre les chaînes et les cordes accrochées aux murs et au plafond, une croix de Saint-André, un carcan, une table munie de bracelets métalliques, et d’autres choses encore... Les portes entrouvertes d’une armoire lui permettent d’apercevoir des accessoires, qui l’affolent tout autant.
    
    — Oh Maître, me supplie-t-elle. Ne me faites pas de mal, je ferai ce que vous voudrez.
    
    — J’y compte bien ! Mais d’abord, ton geste de résistance doit être puni. Que deviendrait mon autorité, si je laissais mes soumises se rebeller sans appliquer de sanction ?
    
    — Non, Maître, je vous en prie...
    
    Elle essaie d’argumenter, mais je ne l’écoute pas. Je l’ai déjà saisie par les poignets, et j’attache ses bracelets de cuir à des mousquetons, qui pendent au bout de cordes suspendues à des poulies, au plafond. Je tire sur les cordes, et les bras d’Elyne sont soulevés, jusqu’à ce qu’ils soient étirés au maximum, et jusqu’à ce que ses pieds touchent à peine le sol.
    
    ELYNE
    
    Oh... mon Dieu... je suis si vulnérable attachée de la sorte ! Mes bras tendus étirent ma poitrine et ces pinces en profitent pour mordre de plus en plus fort mes tétons si sensibles.
    
    Ma position ...
    ... est inconfortable... je suis sur la pointe des pieds et mon corps se balance accentuant la morsure des pinces !
    
    Je suis terrifiée ... Il est si en colère contre moi !
    
    GERMAIN
    
    J’avoue que le regard plein de terreur d’Elyne m’excite au plus haut point, et qu’il m’inciterait à abuser de la situation, si telle n’avait pas déjà été mon intention...
    
    Je sors d’une armoire deux poids, en forme de gouttes d’eau, munis de petits anneaux à leur extrémité. Je me dirige vers Elyne, et j’accroche les poids à chacune des pinces qui écrasent ses tétons. Le résultat est immédiat : les pointes dressées sont étirées, et ses jolis seins commencent à pendre, malgré leur fermeté, et la traction des cordes sur ses bras.
    
    Ma jolie soumise, que je devinais fière - à juste titre - de sa superbe poitrine se sent sans doute humiliée, et la plainte qui s’échappe de ses lèvres ne traduit pas seulement sa douleur !
    
    — Je crois que ça ne te déplaît pas tant que tu en as l’air, dis-je à Elyne. Regarde, tu mouilles !
    
    J’ai passé ma main entre ses cuisses ouvertes, et sa mouille a coulé sur mes doigts. Je les lui montre, en les brandissant tout près de son visage, puis je les enfonce dans sa bouche.
    
    — C’est bon, n’est-ce pas ?
    
    — Mon Maître... Non... Je...
    
    — Rappelle-toi que tu n’es qu’une petite salope soumise ! Et que tu es à moi ! Je vais te le rappeler.
    
    Sous les cris de frayeur d’Elyne, je sors un fouet de l’armoire. Je m’approche à nouveau d’elle, en la fixant, le regard ...