1. La naufragée de la route (4)


    Datte: 26/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Elyne, Source: Xstory

    GERMAIN
    
    J’ai planté ma queue tout au fond de la petite chatte d’Elyne. Jamais je n’aurais cru qu’elle était aussi serrée !
    
    Je commence à aller et venir en elle, et tout trahit le plaisir qu’elle éprouve : ses gémissements, ses seins qui pointent malgré les pinces qui écrasent ses tétons, et surtout, la cyprine qui s’échappe de ses petites lèvres, chaque fois que je la pénètre.
    
    Elyne a bien essayé de protester - c’est la dernière fois que je le tolère - mais en réponse, j’ai pincé si fort son clito qu’elle a été saisie de tremblements, et je me suis remis à la tringler, plus vite encore, de toutes mes forces, en lui enlevant tout espoir.
    
    — Elyne tu es désormais mienne, tu vas apprendre à dépasser tes limites avec moi et tu ne voudras plus repartir... J’en suis sûr !
    
    Elle ne sait pas encore que je peux bander pendant plus d’une heure, en retardant mon éjaculation. Cette maîtrise que j’ai acquise après des années d’expérience m’a toujours permis de rendre folles de plaisir les femmes que je soumets.
    
    Aussi, lorsque Elyne commence à bouger, je crois d’abord qu’elle veut se procurer des sensations encore plus fortes. Mais non ! Elle se débat, elle cherche à dégager ses jambes, elle soulève son buste... Elle pense encore m’échapper ! Quelle folie ! Je ne saurais tolérer la moindre résistance, et je la foudroie du regard.
    
    — Tu n’as donc rien compris, Elyne ! Tu dois renoncer à ta liberté, pour devenir ma petite salope soumise. Je voulais t’y amener en douceur, ...
    ... mais tu m’obliges à recourir à la manière forte ! Lève-toi...
    
    Je retire mon sexe de sa chatte, qui reste béante et trempée, je saisis la laisse, et je la remets debout.
    
    ELYNE
    
    Mais qu’ai-je fait ?
    
    J’ai mis en colère cet homme qui veut que je l’appelle maître !
    
    Maintenant, il est entré dans une colère noire à cause de ma stupidité...
    
    Je frissonne... il est sorti de moi... laissant un « grand vide », je sens encore mes lèvres écartées... cela ne représente rien de bon !
    
    Et maintenant il tire sur cette laisse et me remet debout ! Ses yeux sont d’un sombre !
    
    GERMAIN
    
    — Tu vas me suivre, à quatre pattes, comme une chienne que tu es ! dis-je d’une voix dure à Elyne.
    
    Je tiens la laisse très court, et je devine que le contact du dallage, rugueux et froid, doit être désagréable pour ses genoux. Des larmes coulent sur ses joues, mais je ne me laisse pas attendrir aussi facilement !
    
    Nous sommes sortis du séjour, et nous empruntons un long corridor lugubre, qui mène à une lourde porte, fermée à clé. Je l’ouvre, et nous pénétrons dans la pièce où je soumets mes soumises à tous mes caprices, et parfois à ceux de mes amis. Un "donjon" comme les initiés appellent ce genre d’endroit...
    
    J’allume les lumières, un éclairage indirect diffus, qui donne une couleur rouge, inquiétante, aux murs, et aux objets qui sont installés ici. Elyne regarde autour d’elle, et semble ne rien comprendre à ce qu’elle voit. A moins qu’elle préfère ne pas comprendre, mais je vais y ...
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