1. Souvenirs de jeunesse (8) : un jeu dangereux


    Datte: 26/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: PP06, Source: Hds

    Les commentaires de plusieurs lecteurs sur le récit de nos souvenirs de jeunesse m’ont incité à fouiller dans ma mémoire.
    
    Avant de poursuivre, j’aimerais vous décrire mon épouse Martine afin que chacun puisse mieux se l’imaginer, en lisant nos souvenirs.
    
    Martine a maintenant 58 ans, toujours belle femme, sportive, elle a gardé son corps de rêve. Nous nous sommes mariés jeunes, elle avait 22 ans, moi 25. Nous avions bien eu quelques expériences avant de nous rencontrer, mais rien de sérieux. Martine avait vécu 6 mois avec un copain, mais retournait le week end chez ses parents, moi étant en cité universitaire, je papillonnais pour faire mes premières armes, en attendant de trouver l’oiseau rare.
    
    Je suis assez grand, 1m85 et sans être un athlète, je fais suffisant de sport pour encore aujourd’hui, avoir conserver la ligne. Les extrêmes s’attirent, le côté « petite modèle », lolita, de Martine m’a de suite attiré :1m60, 54 kg, cheveux court, brune ou plutôt châtain foncé, jolie poitrine, 85 B quand je l’ai connu, qui tenait bien dans ma main lorsque je la découvrais au cinéma ou dans la voiture en la raccompagnant chez elle. Avec la venue des enfants, elle a gagné une taille, ses décolletés plus ou moins profonds en ont profité.
    
    Epoque bénie de notre jeunesse, les seins nus étaient admis par tous sur les plages, le soutien-gorge était devenu inutile sous un chemisier ou une robe, et la mode de la mini-jupe était passée dans les mœurs. Les femmes n’hésitaient plus ...
    ... à laisser apercevoir leur poitrine ou leur culotte. Martine a suivi la mode avec zèle et application, et beaucoup de bonheur,
    
    Pour aller travailler, ou recevoir des amis, ses robes laissaient souvent entrevoir le galbe ou la naissance d’un sein, un téton incrusté dans le tissu léger d’un chemisier, ou la dentelle d’une culotte.
    
    Elle n’était pas la seule, mon regard s’attardait sur les femmes que je croisais, au bureau, avec des amis et même en famille. Mais mon plus grand plaisir a toujours été de saisir les regards suscités par Martine.
    
    Très vite, voir mes précédents récits, je me suis aperçu que Martine avait des tendances exhibitionnistes. Il m’est souvent arrivé de la soutenir, il ne faut pas décourager les bonnes volontés. Les regards sur ses cuisses ou sa poitrine, quelques mains baladeuses, ne nous ont jamais dérangés, bien au contraire, nos ébats en rentrant chez nous montrait bien que nous partagions le même plaisir.
    
    J’ai pris conscience il y a peu de temps, que nous avions des tendances candaulistes sans le savoir, comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir. Candaulisme soft, nous contentant d’exhibitionnisme, jamais passé à l’acte lui-même.
    
    Mais, à trop vouloir faire, on peut se bruler les ailes. Nos petits jeux érotiques pouvaient déraper soit volontairement, soit au contact d’hommes plus entreprenant que les autres. Ce qui aurait pu arriver plus d’une fois.
    
    Je pense en particulier, au mariage d’une amie de Martine. Comme vous ...
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