1. Post-divorce - épisode 17


    Datte: 26/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Inceste / Tabou Auteur: Bondhard, Source: xHamster

    ... déjà lu que la dualité entre douleur et plaisir génératrice d’endorphine avait cet effet sur certaines personnes et je sais que je suis du nombre. Que j’ai maintenant irrémédiablement basculé et que je vais rechercher à tout prix à ressentir à nouveau ce que je viens de ressentir.
    
    Guillaume a gagné son pari : déjà, les images de la nuit avec Dominique me semblent bien désuètes. Je comprends maintenant comme le chirurgien fait pour trouver des victimes qui acceptent l’inacceptable. C’est ma première expérience du genre et déjà, j’aspire à pire. A rester ici, devant les caméras, soumis aux déviances de Butcher Paul, du général et du nazi. A recontacter Papa N’Diallo et Jamal. Pour qu’on me fasse mal et me transforme en bête à jouir.
    
    Derrière moi, le nazi retire le gagball et se remet lentement à masser l’intérieur de mon cul d’une main tout en faisant coulisser profondément son pouce dans ma verge béante. Il me pose des questions dont je ne comprends même pas le sens, tout à mon plaisir immonde. Je réponds « oui » et « merci » à tout ce qu’il dit. Le brouhaha des voyeurs sur les écrans est assourdissant. Je ne sens même pas la piqure dans mon cou qui me fait perdre à nouveau conscience.
    
    Je me réveille en sursaut. Je jette des regards d’a****l traqué puis me calme en constatant que je suis dans le lit de Dominique. Ainsi donc l’épreuve est terminée. Je me lève péniblement : les sévices que j’ai subis m’ont éreinté. Mon corps est lourd et les sensations lointaines. Je ...
    ... m’aperçois que je porte une espèce de nuisette transparente et une culotte assortie qui ne cache rien. Je baisse le morceau de soie et inspecte ma verge. Mon urètre est encore dilaté mais mon membre a enfin repris sa modeste taille habituelle. Sans totalement l’étrangler, un anneau en acier serre la base de mes testicules. Je ne distingue par d’ouverture ni de mécanisme et me demande comment on a bien pu faire pour l’enfiler. Je passe ma main entre mes fesses. Une espèce de fine serviette hygiénique recouvre mon anus. Je la retire avec précaution et touche mon orifice. Il est gonflé et gluant de pommade « magique ». J’enfonce un doigt à l’intérieur sans ressentir la moindre sensation.
    
    En plus de l’effet de la pommade, je dois être gavé d’antidouleurs. Je remets la serviette en place.
    
    Divers éléments sont disposés sur la console au pied du lit : une perruque à frange mi-longue de la même couleur que mes cheveux, une paire d’escarpins bas ouverts à ma pointure ainsi qu’une robe. La même que celle que portait Dominique. Je retire la nuisette, passe la robe et enfile la perruque. Maintenant que je suis entièrement glabre, je fais illusion et mon torse gras donne même l’impression que je possède un semblant de poitrine. Devant la glace en pied, je prends des poses, me cambre et fais la moue puis je me déplace malhabilement en tentant de dompter les talons.
    
    - Réveillée, ma chère ?
    
    Je me retourne brusquement et manque de tomber : appuyé sur le chambranle de la porte, le ...