1. Post-divorce - épisode 17


    Datte: 26/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Inceste / Tabou Auteur: Bondhard, Source: xHamster

    Chapitre 17
    
    Mon sommeil est agité, constamment entrecoupé d’interruption. On m’a probablement drogué car j’évolue dans une espèce de demi-conscience cotonneuse. Je suis sûr de deux choses : on m’a fait à nouveau sniffer plusieurs fois du poppers et on a continué à me travailler l’anus et le sexe. Ce sont d’ailleurs les vrilles de douleur de mon cul et de mon bas-ventre toujours engoncés dans l’espèce de coque qui me serre les reins qui me réveillent. Je tente de m’agenouiller mais le simple fait de bouger déclenche d’insupportables souffrances. J’ai complètement perdu la notion du temps. Je reprends le contrôle de ma respiration et parviens à percevoir d’autres sensations plus diffuses : tout mon corps me donne l’impression d’avoir été passé à l’abrasif. Je n’ai pas l’occasion d’approfondir le sujet car la porte de la cellule s’ouvre. Je tourne la tête mais on m’enfile une cagoule opaque dessus et on m’assoit sur un fauteuil roulant. Je demande – d’une voix brisée par les hurlements :
    
    - Quelle heure est-il ? Par rapport aux 48 heures… S’il vous plaît…
    
    - Chuuuut… se contente de murmurer un de mes gardiens à mon oreille.
    
    Après quelques minutes, on me fait descendre du fauteuil, on m’enlève la camisole et la cagoule puis on attache mes poignets en hauteur jusqu’à ce que je ne touche plus le sol que du bout des orteils. Je suis à nouveau dans la salle au mur d’écrans mais l’homme qui me fait face n’est pas Butcher Paul ni le général de Bontier mais un homme au visage ...
    ... caché par le même masque en plastique opaque vétu d’un uniforme militaire noir. Avec sa casquette à visière et ses bottes montantes, sa tenue fait immédiatement penser à celles des officiers nazis. Le double éclair de la SS a été remplacé par deux verges tendues qui s’entrecroisent et la tête de mort par un fouet mais les symboles sont à la même place. Il plante ses yeux gris brûlants dans les miens et je baisse le regard.
    
    - Je vais retirer ta ceinture. Elle contient un plug anal d’écartèlement, une sonde de dilatation pour l’urètre et une bague de serrage pour les testicules. Ca fait huit heures que tu la portes et nous sommes venus régulièrement vérifier que sa programmation intégrée faisait son office. Tu dois être béant. Tu vas hurler comme tu n’as jamais hurlé mais cette fois-ci, pas uniquement de douleur !
    
    Je sais qu’il ne ment pas. Je le sens. Mais j’ai tellement mal que je sanglote en disant :
    
    - Je vous en supplie, ne touchez à rien…
    
    - Si j’obéissais, les appareils de la ceinture suivraient leur programme : ton anus et ta verge seraient irrémédiablement déchirés par les écarteurs et tes testicules se nécroseraient. Note qu’il arrive que ce soit le choix des esclaves les plus extrêmes. Ou celui de leurs maîtres. Mais dans ton cas, ça n’est pas encore l’objectif, n’est-ce pas ?
    
    - Je… non, monsieur.
    
    - Bien. Tu as du aussi ressentir des sensations désagréables un peu partout sur ton corps. Comme si on t’avait frotté avec un gant de crin. C’est parce que ...
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