1. Souvenir d'une postière


    Datte: 23/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Aqw12, Source: Hds

    ... décolleté est on ne peut plus aguicheur. Comme j’emploie des termes techniques, mon client ne suit pas bien mes explications. Mon chef me demande donc de reprendre en me rapprochant de notre hôte. Je fais donc le tour de la table et m’assois juste à côté de lui. Je le frôle, lui sourit, je joue de mes seins, quand je cherche dans mon cartable, je tends mes fesses en arrière sur la chaise, je croise et décroise sans cesse les jambes, me frotte contre tout ce que je peux, comme une chatte en chaleur. Le client n’y tient plus et il me pose une main sur la cuisse, je fais faussement l’effarouchée. Il se montre plus audacieux et cherche à empoigner mes seins.
    
    « Allons, allons, du calme Monsieur X… » Il ne m’écoute pas et poursuit de plus belle.
    
    « Mettez-vous sur ses genoux Madame Landa, il comprendra mieux ! » surenchérit mon chef avec l’œil lubrique et le sourire satisfait. Je pose donc doucement mon derrière sur les cuisses du monsieur. Bien entendu, il glisse une main dessous pour me tâter le fessier sas gène.
    
    « Il est bien moelleux ton gros cul, vieille poufiasse ! » Puis il empoigne mes seins et cette fois, les malaxe, les pétris jusqu’à les faire sortir de mon soutien-gorge. Il ouvre complètement mon chemisier et me l’enlève sans douceur. Il embrasse et mords mes épaules nues et enfoui son nez dans les poils bruns de mes aisselles. Ses mains se posent maintenant sur mes cuisses et les remontent en direction de ma culotte que je n’ai plus et au moment où il touche ...
    ... les poils pubiens de mon sexe très fourni, je me dégage lestement et me lève d’un bond. Il se tourne alors vers mon chef :
    
    « Combien il faut mettre sur votre truc pour pouvoir fourrer cette grosse dinde ? » Mon chef lui annonce sans sourciller une somme pour pouvoir me toucher comme bon lui semble. Pour le double, il a le droit de me violer pendant une heure.
    
    « Le double, ça représente toute notre épargne » se défend-il.
    
    « Je ne peux pas décider ça comme ça ! »
    
    « Mais vous avez envie de vous envoyer Madame Landa, n’est-ce pas ? »
    
    « Et comment, oui ! »
    
    « Surtout que je suis passé dessus avant d’arriver et je vous jure qu’elle vaut la cartouche. Il faut la dérouiller un peu parce qu’elle n’a pas trop servi dernièrement mais c’est encore une bonne jument !... Vous connaissez son mari peut-être bien ? »
    
    « Bien-sûr ! C’est un con ! Y a deux ans, il m’a engueulé devant tout le monde au comice agricole. C’est pour ça que ça me dirais bien de lui défoncer sa bonne-femme, faire couiner sa vieille bourgeoise en chaleur ! »
    
    Mon chef propose alors une nouvelle offre :
    
    « Pour une somme intermédiaire, vous la tripotez comme vous voulez et elle vous suce aujourd’hui. Puis, je vous laisse deux jours pour accepter de mettre le reste de la somme sur le compte. Dans ce cas-là, je vous propose de vous conduire chez elle pour la sauter, dans son lit conjugal. »
    
    Le marché est vite conclut et le chèque sitôt fait, il m’empoigne par les hanches, me penche en avant sur la ...
«12...456...»