Souvenir d'une postière
Datte: 23/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Aqw12, Source: Hds
C’est l’année de mes 50 ans que tout cela s’est passé. Moi, Madame Landa, comme tout le monde m’appelle. Employée modèle de la poste, guichetière zélée, épouse irréprochable, mère dévouée. Une petite bonne femme très BCBG. 1m56 pour 46 kilos. Une silhouette fine si ce n’est des hanches élargies par deux grossesses et qui m’encombrent d’un fessier que je trouve trop large et surtout, d’une culotte de cheval capitonnée de cellulite. Mes fesses me complexent au point que j’hésité chaque été à me mettre en maillot de bain. Je suis donc mariée et fidèle depuis plusieurs décennies et mère de deux grands enfants. J’ai une bouche très fine avec des lèvres à peine visibles, des cheveux courts, châtains méchés blonds, au brushing crêpé toujours impeccable. Je porte désormais des lunettes rectangulaires aux fines montures dorées. Ma poitrine est menue (85b) même si mes seins sont assez lourds, en poires avec des aréoles rosées très claires presque invisibles au milieu desquelles deux petits boutons roses font office de tétons. Malgré mon air naturel assez sévère, je m’efforce d’être le plus souvent souriante. On me décrit comme une bourgeoise coincée parce que je ne porte que des tenues très sérieuses : tailleurs jupes ou pantalon et chemisiers au ras du cou. Mes jupes dévoilent rarement mes genoux.
L’année de mes cinquante ans, le petit bureau de poste au cœur de la campagne Aveyronnaise dans lequel je travaille, hérite d’un nouveau chef (un receveur selon le jargon). Et c’est ...
... ainsi que je vois arriver un ancien camarade de lycée. Et pas n’importe lequel : celui qui m’a dépucelé quand j’avais 17 ans et qui fût le seul homme autre que mon mari à m’avoir honoré tout au long de ma vie. Nous étions adolescents et après m’avoir sauté une seule et unique fois, à même le sol, au pied d’un arbre en marge d’une fête foraine où nous flânions en groupe, il avait jeté son dévolu sur ma meilleure amie de l’époque et l’avait épousé quelques années plus tard. Nous nous sommes naturellement perdu de vue pendant toutes ces années.
Il se tient debout face à toute l’équipe : mes trois collègues du guichet et les six facteurs mais il ne me quitte pas des yeux pendant tout son discours d’arrivée. Il m’invite ensuite dans son bureau et nous échangeons quelques palabres du « bon vieux temps ». Les premières semaines se passent vraiment très bien et mon mari et moi acceptons une invitation à dîner à son domicile. Je retrouve donc mon ancienne copine et je constate, non sans une certaine joie, que les années l’ont plus marquées que moi. Mon chef sympathise avec mon mari, je renoue avec sa femme et nous nous échangeons des invitations pendant quelques semaines. Au bureau, il ne cesse de me vanter et de me mettre en avant ce qui commence à rendre jalouses mes collègues. De plus, comme il ne cache pas une certaine complicité et me fait souvent venir dans son bureau ou parle ouvertement de notre dernier dîner ensemble, les ragots commencent à poindre. Pourtant, rien de ...