1. Marie-France nous rend visite


    Datte: 23/07/2018, Catégories: fh, jeunes, couplus, extracon, Inceste / Tabou fépilée, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    ... de langues, écartant ses lèvres au maximum, évitant le clitoris que je finis par saisir entre mes dents. Je crus qu’elle avait reçu une décharge électrique tant sa réaction fut vive. Je continuais à la mordiller, à aspirer son grain. Elle se mit à crier et à gémir. Son corps agité de tremblements ne retrouvait la paix que pour mieux exploser sous mes caresses. Cette partie dura une bonne heure et la laissa pantelante sur le lit, épuisée, vidée, ravie. Dès qu’elle eut repris son souffle, elle murmura :
    
    — J’ai bien fait de venir.
    
    Un rapide repas, puis une sieste coquine. Evelyne, sans aucun esprit de voyeurisme, et le plus naturellement du monde, s’installa dans un fauteuil qu’elle orienta vers le lit. Elle venait simplement assister à la fête de l’amour entre son amant-cousin et sa cousine. Il n’y avait aucun mal à ça, si ce n’est que le mari de Marie-France pensait que sa femme était fidèle. Elle l’était en fait, puisqu’elle ne l’avait jamais trompé, ni envisagé de le faire, et que, pour elle, même aujourd’hui, même avec son cousin entre les cuisses, elle ne le trompait pas. Mais allez expliquer ça à un mari ! Comment expliquer l’inexplicable ? Comment expliquer que nos corps s’attiraient comme des aimants, qu’ils ne pouvaient longtemps se passer de ce contact, qui avait évolué avec le temps, mais qui était, en fait, le même depuis toujours.
    
    Je ne me lassais pas de ce sexe glabre ; j’y étais si peu habitué avec Evelyne dont, au demeurant, j’adorais la pilosité si ...
    ... fournie. Je le regardais, osant à peine y toucher tant cette vision était magique. De mes deux mains je frôlai les lèvres, les touchant à peine du bout de mes doigts, glissant un peu plus profondément, les écartant à peine et, sans prévenir entrant un doigt que je ressortais aussitôt. Celui-ci, bien humide maintenant, alla rejoindre sa rosette qu’il caressait, pressait puis repartit s’humecter à nouveau avant de revenir agacer cette partie sensible de son corps. Tous les doigts, à tour de rôle visitèrent ma cousine, puis l’index pénétra au plus profond tandis que le pouce écrasait le clitoris et le faisait rouler. La deuxième main ne restant pas inactive puisque l’autre index força très légèrement sa rosette pour ajouter à l’extase qui ne tarda pas à survenir. Pendant qu’elle refaisait surface, je me levai, douloureusement bandé, pour déposer un baiser sur les lèvres d’Evelyne. Flattant mon sexe de la main, elle me dit :
    
    — Vas-y, je veux qu’elle connaisse ce que je connais…
    
    Avait-elle entendu ? Probablement, ou bien avait-elle deviné, plus vraisemblablement. Elle se leva, me poussa sur une chaise et s’assit sur moi, face à moi, sa poitrine contre mon torse et mon sexe entre nos deux ventres qu’elle faisait rouler entre nous. J’avais peur des conséquences mais elle arrêta son manège pour déposer un chaste baiser sur mes lèvres, se souleva, ce qui eut pour conséquence d’amener mon sexe entre ses jambes, parfaitement entre ses lèvres dont je sentais déjà la douceur. Elle se ...