1. Marie-France nous rend visite


    Datte: 23/07/2018, Catégories: fh, jeunes, couplus, extracon, Inceste / Tabou fépilée, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Benoberna, Source: Revebebe

    Un soir, le téléphone sonna. Marie-France nous expliqua que son mari avait un séminaire à cent kilomètres de chez nous, dans un mois, durant le week-end. Elle le laisserait à ses travaux et, si nous voulions bien lui accorder l’hospitalité, elle aurait grand plaisir à passer deux jours avec nous. Cette nouvelle, je la ressentis avec une espèce de frisson dans mon ventre. Je devinais ce que serait ce week-end, puisque les cousines avaient toujours, toutes, utilisé ma modeste personne, de la même façon et sans que rien ne soit réservé à l’une et à l’autre. Je le savais, je le sentais mais Evelyne aussi le sentit :
    
    — Je vais devoir te prêter à Marie-France ?
    
    Mais ça n’était pas une question puisqu’elle avait, aussi bien que moi, la réponse. Elle en était même heureuse et fière. Heureuse que sa cousine connaisse les sensations que je lui procurais, et fière de lui montrer ce dont elle était désormais seule à jouir. Le week-end arriva. Evelyne mit les petits plats dans les grands, voulant à tout prix, et dans tous les domaines, que sa cousine garde un bon souvenir de ce séjour. Onze heures, coup de sonnette. Nous avions fait la grasse matinée et prenions notre petit déjeuner, pas encore habillés, donc nus. Marie-France embrassa Evelyne et, m’embrassant à mon tour, se saisit de mon sexe qui, instantanément, prit la posture préférée des cousines.
    
    — Alors cousin, toujours prêt, je vois, gloussa-t-elle.
    
    Nous échangeâmes quelques banalités mais elle ne me lâchait pas. Et ...
    ... c’est Evelyne qui dit :
    
    — On y va, se dirigeant vers la chambre.
    
    Marie-France ne se fit pas prier, et me dit :
    
    — Déshabille-moi.
    
    Je lui ôtai sa veste et son chemisier dévoilant un soutien-gorge pigeonnant. Je mis mon visage entre ses seins respirant son odeur que je connaissais si bien et qui, sans que je m’en sois aperçu, me manquait. Je dégrafai sa jupe qui tomba à ses pieds. Elle m’apparut alors, telle que je l’avais découverte, sous la table, le soir de son mariage, des bas attachés avec un porte-jarretelles, pas de culotte et le sexe totalement épilé.
    
    — Mon mari me veut comme ça, dit-elle.
    
    Et moi j’en étais ravi. Elle se laissa tomber sur le dos, me disant :
    
    — Termine ce que tu n’as pu faire pour le mariage. Mange-moi.
    
    Comme un enfant qui découvre un nouveau jouet et qui n’ose s’en servir, je jetai un regard vers Evelyne qui, souriante et sereine, m’encouragea d’un battement de cils. J’étais heureux, ma complice, ma partenaire, mon amante quotidienne, mon amour me regardait dévorer le sexe de sa cousine. Quelle sensation, quel plaisir, que je n’avais pu suffisamment apprécier, de lécher, de fouiller, de sucer un sexe imberbe. Nul obstacle pour atteindre les points sensibles. Tout est parfaitement dégagé, parfaitement visible. Juste en profiter. Marie-France, sensible comme ses cousines ne tarda pas à onduler, à gémir, atteinte par l’orgasme. J’étais si bien que, tout doucement, pour lui laisser le temps de récupérer, je continuais à donner des coups ...
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