1. Mes voisines mère et fille


    Datte: 22/07/2018, Catégories: Hardcore, Inceste / Tabou Lesbienne Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... sans me quitter des yeux. Quand tous les boutons furent défaits, Léa écarta un pan de la chemise et approcha sa bouche d’un téton. Puis elle se mit à le sucer, tout en le malaxant. Je n’en revenais pas. Je ne bougeais pas. Hélène me regardait. Je lui avais fait la même chose la veille, chez moi, et elle s’était mise à gémir. Et c’est ce qu’elle fit de nouveau sans tarder : elle poussa un petit gémissement, puis un autre, plus long, et elle ferma les yeux au moment où sa fille changea de sein. Elle se mit à téter l’autre et changea de position dans le canapé : elle pivota et me tourna quasiment le dos. Mes yeux se posèrent alors sur son joli petit cul moulé par son caleçon noir. Et je ne comprenais toujours pas ce qui était en train de se passer sous mes yeux. J’avais les idées en vrac, mais je voyais clair néanmoins : cette femme de trente-neuf ans était en train de donner le sein à sa fille qui en avait dix-sept. Et je bandais. J’avais un verre dans les mains, mais je n’y avais pas touché depuis cinq minutes. J’étais incapable de faire un geste, encore moins de prononcer un mot. Je bandais et, de temps à autre, Hélène rouvrait les yeux pour me regarder, sans cesser de gémir, de plus en plus fort et longuement.
    
    Et tout bascula d’un seul coup, à cause d’un autre geste : sans cesser de sucer le sein gauche de sa mère, Léa saisit l’élastique de son caleçon moulant et le fit glisser sur ses fesses, jusqu’à ce que son cul soit visible, et comme il faut : je voyais son anus et ...
    ... le départ de ses lèvres qui semblaient lisses. A aucun moment elle ne me regarda au cours du geste. Contrairement à Hélène qui finit par ouvrir la bouche pour me dire :
    
    « Viens. »
    
    Un seul mot. Un mot étourdissant. Il y en a de temps en temps des comme ça dans la vie. Ils sont rares et il faut sauter dessus, sinon, par la suite, on le regrette amèrement. Alors j’ai sauté dessus. J’ai quitté mon fauteuil et contourné la table basse en m’appliquant à ne pas tituber. Je me suis assis près de Léa et je lui ai caressé une fesse. Elle a à peine réagi. Elle suçait le sein de sa mère et savait très bien ce qui se passait. J’ai caressé l’autre fesse, assez délicatement, mais la tentation était trop forte et je savais très bien que la mère et la fille ne me foutraient pas dehors si j’allais plus loin. J’ai laissé glisser un doigt entre les fesses de la fille et j’ai touché son anus. Elle sursauta à peine, sans cesser de téter le sein de sa mère. Ensuite, j’ai poussé mon doigt jusqu’à la base de ses lèvres, et c’est là que la fille a décidé de mieux baisser son caleçon, jusqu’à mi-cuisses. Sa petite chatte était trempée. Je me suis penché et je l’ai léchée, toujours très délicatement, presque sensuellement. Je l’ai léchée assez longtemps, il me semble. Et je me souviens avoir défait ma ceinture, puis les boutons de mon jean pour libérer ma queue qui était raide comme un bout de bois. Je me suis masturbé, sans cesser de lécher la chatte de l’adolescente qui continuait de téter. La ...