Mes voisines mère et fille
Datte: 22/07/2018,
Catégories:
Hardcore,
Inceste / Tabou
Lesbienne
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... derrière la porte. C’est Hélène qui m’a ouvert. Il n’y avait effectivement pas grand-monde : Léa, deux autres filles et deux garçons de son âge qui venaient également de décrocher leur bac. J’ai salué tout le monde et remis une bouteille de mousseux à la jeune bachelière. Elle avait attaché ses cheveux et portait une chemisette blanche, très sobre, qui tombait sur un caleçon moulant noir. Elle était pieds nus et on sentait qu’elle avait déjà bu quelques verres. J’ai accepté un kir et me suis mis à discuter avec Hélène. Les jeunes étaient plutôt sympathiques et sociables. Le sentiment d’être un cheveu sur la soupe ne m’a pas effleuré l’esprit. Et pour être très honnête, dans un coin de tête, j’avais de nouveau envie de coucher avec Hélène. Seulement, je ne voyais pas comment cela pourrait se faire, étant donné que sa fille était chez elle cette fois-ci, et que je me voyais mal proposer à la mère de venir chez moi pendant cette soirée. La seule possibilité aurait été que les jeunes annoncent qu’ils allaient en boîte et qu’on se retrouve tous les deux, mais ce n’était visiblement pas au programme. Alors j’ai mis mon envie de côté et bu d’autres verres en papotant avec Hélène.
Dans ce contexte et en si petit comité, nous ne fîmes à aucun moment allusion à ce qui s’était passé la veille chez moi. Seuls quelques regards complices échangés me laissèrent penser qu’Hélène avait aimé ça et que l’envie de recommencer était partagée. Je me contentai de ça et la soirée s’écoula dans ...
... la meilleure des ambiances, jusqu’à ce qu’un des filles annonce qu’elle allait rentrer chez elle. Il devait être une heure du matin. Un garçon la suivit de près et une autre heure passa avant que l’autre fille et l’autre garçon, qui étaient en couple, quittent les lieux à leur tour. Nous avions tous beaucoup bu, mais je n’étais pas vraiment fatigué. Hélène non plus. Quant à Léa, elle ne se montra pas triste que la soirée touche à sa fin, puisque que ce n’était pas le cas. Elle dura encore, malgré qu’on se retrouve à trois.
Ma tête commençait à tourner sérieusement avec l’alcool et Léa tarda à montrer des signes de fatigue. En tout cas, c’est ce que je crus. A un moment donné, je la vis s’affaler dans le canapé, près de sa mère, et poser sa tête sur son épaule. Sa mère lui caressa les cheveux. J’étais assis en face du canapé, dans un fauteuil. Sur la table basse qui nous séparait, gisaient des bouteilles, des verres et quelques toasts dans des assiettes. Je voyais flou par moment, mais je me souviens d’un regard qu’Hélène m’adressa. Un regard qui dura, au cours duquel un geste étrange eut lieu sous mes yeux : Léa approcha une main de la poitrine de sa mère et se mit à lui caresser un sein, doucement, sans me regarder, contrairement à Hélène qui me fixait toujours en souriant très légèrement. La caresse se prolongea pendant une bonne minute, puis un autre geste survint, qui me sidéra : Léa défit un bouton de la chemise de sa mère, puis un deuxième. La mère la laissa faire, ...