Mieux vaut "un bon coup" qu'un long discours
Datte: 22/07/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
fête,
vengeance,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
yeuxbandés,
exercice,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... robe colle à ta peau. Laisse-moi tirer sur cette fermetureÉclair qui me tente depuis des heures. Ne me dis pas que tu n’as jamais imaginé une main inconnue qui ferait glisser lentement…
— Marc, tu es un charmeur…
— Chut. Ne parle pas. Écoute le crissement magique du métal qui défait en descendant ce qu’il a assemblé en montant. Tu sens maintenant l’air qui rafraîchit ta peau à mesure que le tissu s’écarte. Oh, Anne, tu es magnifique. Enlevons cette étoffe qui n’est plus qu’un chiffon sans toi. Et quelle élégance… Tes dessous sont très mignons. Presque coquins… C’est sûrement Luc qui te les a offerts.
— Ne me parle pas de ce goujat !
— Excuse-moi, je suis impardonnable. Oh, j’ai chaud d’un seul coup. Sens comme je transpire. Moi aussi j’ai besoin de me rafraîchir.
— Laisse-moi faire… Cette ceinture a une boucle qui…
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— Tu vois, c’est bien parti. Approchons, maintenant. La musique couvre le bruit de nos pas, mais il faut rester prudents. Tiens, installons-nous ici. Nous verrons très bien.
— C’est vrai.
— Mon coquin de mari est un expert. En deux coups de cuillère à pot, il te déshabille une femme.
— Et le foulard ?
— Le foulard et la musique, c’est moi, c’est mon idée. Tu sais, nous les femmes, sommes autant effrayées par les apparences que par les actes. Alors, avec un foulard, adieu les apparences. Le reste n’est qu’une question d’envie. La musique comble les silences qui pourraient faire réfléchir.
— Dis donc, Marc ne porte jamais de slip ...
... ?
— Mais si, bien sûr. En enlevant le pantalon, la femme pense avoir le temps de reculer car le slip qu’elle s’attend à trouver la protège encore. Après… Pendant qu’Anne te « téléphonait » et que nous lui faisions le grand jeu du couple adultère, Marc s’est préparé. Pas de slip. Pas de maillot. Ainsi, en deux mouvements il est nu. Regarde-la, toute surprise de découvrir son sexe. En plus il bande. Le coquin… Je savais qu’il fantasmait sur ta femme, et la réponse, c’est elle qui l’a entre ses doigts.
— Mais mon Anne le mérite. Regarde comme elle est belle, désirable ; son petit soutien-gorge et ce string immaculés, et surtout cet air sage d’ingénue à qui on donnerait le bon Dieu sans confession. Ah, si le bon Dieu savait ce qui se cache sous l’apparence de femme sage…
— Je te parie qu’il va lui proposer sa bite à sucer. D’accord pour une nouvelle bouteille ?
— Prépare ton argent. Ma femme n’est pas du genre à sucer comme cela. Même si c’est une reine de la pompe, elle réserve ses talents à son mari.
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— Marc ? Que fais-tu ? Je vais retirer mon bandeau…
— Surtout pas. Tiens, donne-moi ta main… Voilà… Dis-moi ce que tu sens…
— Ton sexe. C’est ton sexe. Tu bandes.
— Mais bien sûr que je bande. Je bande pour toi. Ta main est d’une douceur folle. Ne t’arrête pas.
— Ce n’est pas bien ce que nous faisons. Tu profites de ma faiblesse.
— Anne, tu ne peux pas me laisser comme cela. Ne me dis pas que tu n’as pas envie. Pense à ton mari ; pense à ce que tu as ...