1. Mieux vaut "un bon coup" qu'un long discours


    Datte: 22/07/2018, Catégories: fh, fhh, cocus, fête, vengeance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe échange, yeuxbandés, exercice, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... si tu en as envie. Je suis ton ami. Tu peux compter sur moi.
    — Merci ; toi, tu peux comprendre. L’infidélité, la peine, la colère, la vengeance… Oh, non…
    — Anne, laisse-toi faire. Ce n’est qu’un pansement sur ta blessure…
    — Mais, tes lèvres dans mon cou. Ces baisers sur le lobe de mon oreille. Arrête… S’il te plaît, arrête ! Ce n’est pas bien… On pourrait…
    — Ce ne sont que quelques caresses, ô combien sages. Un baume pour…
    — Et tes mains ? Ce sont des baumes ? S’il te plaît…
    — Anne. Un mot. Un seul. Je veux t’entendre dire que tu refuses ce que je t’offre. Ce qui peut te venger de la trahison de Luc. Un mot. Un seul. Anne, et je te laisse à ta peine. Il suffit d’un mot… Il suffit de dire… C’est très simple… Non… Il suffit de dire « non ».
    — Marc je t’en prie…
    
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    — Pas si fort ; elle pourrait nous entendre.
    — Chut. Regarde. Tu vois que j’ai raison. Marc en est déjà à l’embrasser. Elle ne refuse pas son baiser. C’est bien elle, ton Anne si sage, qui entoure la tête de mon mari pour mieux en profiter. Et les mains ? Tu vois ses mains qui caressent son corps ?
    — Peut-être, mais je la connais. Il ne faut pas la brusquer. Elle peut se ressaisir et se refuser.
    — Refuser ? Tu te fous de moi. C’est refuser, alors qu’il lui fait détacher les boutons de sa chemise ? C’est refuser alors qu’il tire sur la fermetureÉclair ? Regarde-les.
    
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    — Marc, arrête. Je ne suis pas une catin, une femme facile. Jamais je ne pourrai supporter ce que ...
    ... tu envisages. Déjà ces baisers ! Tu me troubles. Ne profite pas de la situation. Je vais rentrer chez moi et m’expliquer avec mon mari. Il va me le payer.
    — Anne, attends. Laisse-moi une chance. Laisse-nous une chance. Tu ne vas pas prendre la route comme cela. En colère contre Luc, et en plus tu as trop bu. Quelques minutes, et je te laisse aller te coucher…
    — Mais que fais-tu ?
    — Un foulard. Un simple foulard sur tes yeux. Maintenant, imagine… Tiens, prends ma main… Que sens-tu ?
    — Un visage… Des lèvres… Tes lèvres…
    — Mes lèvres ? Tu es certaine ? Peut-être que ce sont celles de Luc.
    — Non, pas Luc. Pas mon salaud de mari.
    — Alors, à toi d’imaginer… À toi de fantasmer…
    — Mmmmm…
    — Et maintenant, que sens-tu ?
    — Une chemise. Des boutons de chemise.
    — À toi de continuer. Moi aussi je ferme les yeux. Dis-moi ce que tu « vois ».
    — Je détache un bouton. Puis un autre. La chemise s’entrouvre, mais pas assez. Encore un, encore, encore. Voilà, j’arrive à la ceinture du pantalon. Je tire la chemise. Un dernier bouton. Voilà. Il suffit de la dégager au niveau des épaules et je sens que le tissu tombe.
    — Parfait, Anne. Tu es une narratrice née. Et sous cette chemise, que vois-tu ?
    — Oh, la peau est douce, légèrement humide. Le torse est recouvert de poils. C’est étrange, à la fois soyeux et viril. Luc n’a pas…
    — Oublie ton mari. Ne pense qu’à toi. Tu as les mains douces. Continue, c’est très agréable.
    — Oh, mais que fais-tu ?
    — Tu as chaud. Tes mains sont humides. Ta ...
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