Merci pour tout
Datte: 22/07/2018,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
jeunes,
douche,
amour,
intermast,
Oral
fsodo,
nostalgie,
Auteur: P.R. De Montels, Source: Revebebe
... plaisantaient car sous l’effet du passage des mains de Julia sur le corps et le sexe de Philippe pour les laver, ce dernier reprenait vigueur. Raisonnables, ou plutôt affamés, ils jugèrent qu’il était temps de ne plus s’exciter.
Le repas au restaurant fut des plus agréables pour Philippe. La conversation fut décontractée et Philippe fut heureux d’en apprendre un peu plus sur la vie de Julia. Il fut content de ce qu’elle lui disait :
— En réalité, quand on s’est rencontrés il y a quelques mois, et que tu nous as demandé de te trouver une « sugar baby », j’avais envisagé de me proposer. Karine a été plus rapide que moi. Je n’ai eu plus qu’à le regretter pour deux raisons. L’une, c’est qu’il n’est pas évident de trouver du travail au moment où j’ai besoin d’argent. L’autre c’est que, à la suite des conversations ultérieures que j’ai eues avec Karine je me suis rendu compte que j’étais passé à côté de quelqu’un de très intéressant. Karine me racontait votre vie commune et ne manquait pas d’apprécier ta façon de te comporter vis-à-vis d’elle. Ta délicatesse, ta prévenance l’étonnaient. Habituée à fréquenter jusque-là de jeunes machos de notre génération, elle découvrit et me fit découvrir des rapports inter-sexe que nous ignorions. Et cela, aussi bien dans la vie quotidienne qu’au lit. Elle m’a souvent décrit plein de détails, excuse-nous, mais c’est tout à ton honneur, sur vos ébats amoureux qu’elle m’en faisait mouiller ma culotte de plaisir mais aussi de jalousie. ...
... J’enviais ces moments où tu étais à l’écoute de son plaisir, où tes caresses n’étaient destinées qu’à sa jouissance, la tienne en attente de son bon vouloir. Quand elle me décrivait ce qu’elle ressentait quand ta langue lui léchait les petites lèvres, le clito, quand ton sexe fort du désir de sa jouissance la pénétrait après que tu l’aies bien préparée, qu’elle comparait la brutalité de ses jeunes amants avec la douceur dont tu faisais preuve quand tu pénétrais son cul, je n’arrivais pas à retenir la mouille qui coulait sur mes cuisses, me remplissant de honte et de regrets.
Un jour qu’une fois de plus, alors que nous étions dans sa chambre, elle me parlait de toi et me décrivait votre dernière soirée et nuit, je mouillais à me noyer. Elle s’aperçut du filet liquide qui descendait doucement le long ma jambe. S’arrêtant brusquement de conter elle s’approcha de moi et mit sa main dans mon entrecuisse – hé tu mouilles ! Une vraie rivière ! – Sa main remonta le long de ma cuisse et vint au contact de mes lèvres que je sentais gonflées et hypersensibles. Le contact de ses doigts provoqua une réaction incontrôlée de ma part. Mon bassin se projeta en avant ce qui amena la pénétration de ses doigts dans mon vagin, frottant de ce fait mes muqueuses. Un orgasme spontané me terrassa. Karine me regardait d’un air interdit mais vite amusé :
— Eh bien, je ne m’attendais pas à cela, ma chérie ! Remarque que moi-même je ne suis pas insensible à l’atmosphère – et prenant ma main elle la fourra ...