1. Merci pour tout


    Datte: 22/07/2018, Catégories: fh, ff, ffh, hplusag, jeunes, douche, amour, intermast, Oral fsodo, nostalgie, Auteur: P.R. De Montels, Source: Revebebe

    ... mais elle aussi avoua-t-elle, avait l’humeur plutôt coquine. Après un lent strip-tease réciproque sur une musique lente elle conta toutes les caresses coquines qu’ils se prodiguèrent, s’amusant à s’introduire des sextoys dans tous leurs trous et en s’efforçant d’en décrire les effets sur eux. Au fur et à mesure qu’elle parlait, elle voyait les yeux de Julia briller et ses cuisses se serrer, ses mains posées sur ces dernières, ne tenant pas en place.
    
    — C’était fantastique comme on arrivait à se faire plaisir, à en rire. Une vraie complicité de nos désirs et des découvertes dans de nouveaux plaisirs, sans vulgarité, tout en douceur.
    
    Tout en parlant elle s’était rapprochée de Julia et avait posé ses mains sur les siennes.
    
    — Sens comme rien que de raconter me fait mouiller.
    
    Et elle emmena les mains de Julia contre ses cuisses entrouvertes sous la courte jupe. Julia eut un instant d’hésitation mais un sentiment qu’elle ne pouvait et sans doute, réalisa-t-elle, qu’elle ne voulait pas définir lui fit avancer les doigts dans l’entre cuisse.
    
    — Oh oui, c’est tout chaud et même humide. Hé, tu mouilles pour de bon.
    
    Et sans réfléchir autrement, elle enfonça deux doigts dans la fente déjà béante de son amie. Absorbée par ses pensées elle ne vit pas que Karine, à son tour, avait passé sa main sous sa propre jupe et essayait d’introduire son doigt dans sa propre chatte défendue par la petite surface de son mini-string. D’instinct, elle écarta ses cuisses pour offrir un ...
    ... meilleur accès alors qu’elle entendait Karine qui lui disait :
    
    — Eh bien ma cochonne, tu es toute trempée toi aussi !
    
    Et sans trop réfléchir, mues par un instinct primaire de recherche de jouissance, elles se rapprochèrent l’une de l’autre, leurs bouches s’accolèrent, leurs langues se mêlèrent tandis que leurs doigts jouaient tantôt du piano, tantôt du violon sur leur clitoris dont l’excitation les mit en transe. Se dévêtant en un tour de main, elles se positionnèrent tête-bêche, allongées sur le lit, se léchèrent la chatte et se sucèrent le clito jusqu’à épuisement, se déclenchant plusieurs orgasmes, trempant abondamment le dessus de lit. Après avoir repris leurs esprits, elles se regardèrent et éclatèrent de rire.
    
    — Ouf, que c’était bon ! déclara Julia.
    — En arrivant, je n’aurais jamais pensé que cela pouvait arriver, renchérit Karine.
    — Je ne voudrais pas que tu le prennes mal, ma chérie, mais je dois t’avouer que pendant nos ébats je n’ai pas cessé de penser à Philippe. Tu m’en parles tellement et avec de tels mots que j’ai l’impression de vivre certaines des situations avec toi. Là, je l’imaginais en train de nous regarder et cela redoublait mon excitation et mon plaisir. Encore une fois, ne le prends pas mal, ce serait trop bête.
    — Rassure-toi, je ne le prends pas mal et pour être franche avec toi, j’ai fait un peu exprès d’insister sur les détails car je voyais que tu y trouvais du plaisir.
    
    Quelques jours plus tard, Philippe, qui n’avait pas vu Julia depuis ...
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