1. Violaine, souvenirs d'antan


    Datte: 21/07/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, couleurs, extracon, cocus, Collègues / Travail grossexe, boitenuit, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, nostalgie, coupfoudr, amourcach, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... de camp. Le ménage n’était pas fait. Du linge propre attendait que je fasse chauffer le fer, et même l’évier était encombré. Je lui ai donné mon adresse avant de changer d’avis, et je me suis activée pour mettre de l’ordre.
    
    Edmond est arrivé un quart d’heure plus tard, un bouquet de roses rouges à la main. Tout sourire, il m’a fait la bise avant d’entrer. Assis tous les deux à la petite table de ma minuscule cuisine, nous nous sommes regardés longuement avant qu’il ne décide de rompre le silence.
    
    — Je ne sais pas par quoi commencer…
    — Je ne peux pas vous aider.
    — Si on commençait par se tutoyer ?
    — Essayons…
    — Tu m’offres un café ?
    — Volontiers.
    
    Enfin une action de diversion qui allait me permettre de bouger un peu. Je me suis levée pour ouvrir un placard et en sortir le paquet tout neuf. Il m’a regardée faire ; son regard bleu acier ne me quittant pas des yeux. J’étais démaquillée, les cheveux en bataille. J’avais passé un tee-shirt informe. J’étais à peine présentable. J’ai mis la machine en route, et quand je me dirigeais vers le tabouret il s’est levé, se mettant sur mon passage. J’ai senti comme un aimant m’attirer contre lui ; ses bras se sont refermés sur moi comme un étau. Mes seins sont venus se coller contre son torse. Il m’a serrée à m’en couper le souffle, me caressant le dos. J’ai senti ses mains dans mes cheveux, ses cuisses se coller aux miennes. La machine à café commençait à crépiter. L’odeur du café frais se mêlait agréablement à celle, suave, ...
    ... de son parfum.
    
    Je me suis sentie fondre. Il a cherché ma bouche pour un baiser d’abord chaste, du bout des lèvres, avant que nos langues se mettent à danser. Je me suis vite retrouvée nue, emportée par une frénésie indescriptible. J’avais attendu tellement qu’il veuille bien s’intéresser à moi, je n’avais plus de temps à perdre. Visiblement, lui encore moins. Nous avons fait l’amour à même le sol, riant ensemble de l’inconfort de la situation. Il me voulait profondément, et m’a aimée comme une femme qu’on pilonne tendrement en lui disant des mots doux, qu’on fait patienter avant de lui donner le coup de grâce, qu’on flatte pour la chaleur et la douceur de son corps, qu’on lèche avec avidité, dont on mordille les seins à la faire geindre.
    
    Il m’a fait m’envoler, voyager au-dessus de nos corps à les regarder s’étreindre avec passion. Cette passion qui nous aura fait aller au bout de notre envie du soir. Personne avant lui n’était allé aussi loin et aussi profond dans mon vagin trempé. Je n’avais autorisé personne avant lui à jouir sans retenue, à m’inonder de sa semence, à rester encore un peu pour que je savoure. Il s’est affalé sur moi, a continué de me caresser, de me dire des mots doux, de se délecter de mon corps. Malgré son âge il était tonique et viril, et sans doute n’avait-il pas fait un usage aussi sauvage de son corps depuis bien longtemps. Il a pris mon visage à deux mains, a fixé mes yeux de son regard de braise, et alors que je sentais son sexe à nouveau dur ...
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