1. Histoires de la Bienheureuse Agnès 05


    Datte: 20/07/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    ... de ses amants. Le fond du vagin crépi par le sperme épais, chaud et abondant du Françou et le cul rempli du foutre brûlant et liquide du Jacquot, elle flottait encore entre les hommes qui relâchaient progressivement leur étreinte. Les bites du Jacquot et celle légèrement débandée du Françou, sortirent presqu'ensemble des orifices distendus de la jolie bourgeoise. Ce retrait libéra simultanément le flot blanchâtre, mélange de la cyprine et de sperme du con béant de la Bienheureuse Agnès... De l'œillet lui aussi très ouvert, s'épanchait le liquide plus transparent du Jacquot qui bullait à la sortie du sphincter culier. La Bernadette se précipita entre les cuisses encore très ouvertes d'Agnès et de sa langue large et râpeuse, elle ramassa les sécrétions qui maintenant se mélangeaient sur la vulve ouverte d'Agnès. Elle semblait se délecter de cette liqueur aux goûts et aux effluves très métissés... La vieille garce n'en laissait rien perdre, elle dardait sa langue tantôt dans le trou du con de l'infirmière, tantôt dans la rosette très desserrée, pour en récolter les moindres gouttes. Tout juste si elle prit le temps de dire :
    
    - " Putain que c'est bon... Ne jamais laisser rien perdre de ça..., c'est le meilleur!... Et moi ça m'excite... Continue et baise-moi bien à fond mon joli!", dit-elle encore en s'adressant à Adrien qui continuait de la prendre en levrette. Dans la position où elle s'était mise, le visage entre les fesses d'Agnès, elle-même encore couchée sur le Françou, ...
    ... la grande bonne femme avait l'énorme engin de son homme qui débandait à peine, entre ses seins volumineux.
    
    Sous les caresses de la langue de la vieille cochonne, Agnès sentait qu'elle pourrait repartir à tout moment. Son petit trou du cul lui faisait mal d'avoir été dilaté et la langue de la Bernadette la calmait avec bonheur... Quand la langue touchait son trou de derrière, elle poussait sur son fondement afin de faire s'ouvrir davantage l'anus permettant ainsi à langue d'y entrer plus avant... Elle sentait le foutre chaud couler de son vagin et rouler sur l'intérieur de ses petites lèvres ; liquide tout de suite cueilli par le bout de la langue de la Bernadette. La langue s'insinuait au-delà des petites lèvres, jusqu'aux piliers d'amour qui bordaient l'entrée du trou, renflés et meurtris par le braquemart énorme et tordu du Françou. Cette langue qui les massait et les lustrait, lui faisait le plus grand bien et calmait cette douleur sourde que provoquaient les chairs distendues. Lorsque la langue s'aventura complètement dans le trou pour pomper bien à fond le reste de foutre, Agnès sentit qu'elle ne retiendrait pas plus longtemps une nouvelle bordée de cyprine. Celle-ci se mit à couler abondamment du méat du pipi trou sur la langue de Bernadette qui s'en délectait et aspirait alors encore plus fort les profondeurs du con grand ouvert...
    
    Ce fut à ce moment que Brigitte lâcha aussi sa jouissance dans la bouche d'Elise. La petite brune se releva d'entre les jambes de la ...
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