1. Histoires de la Bienheureuse Agnès 05


    Datte: 20/07/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    ... demande pas de boire, on te le commande! Pigé? ". Puis regardant le pubis d'Agnès, d'une main elle lui fit écarter les cuisses et elle lui asséna, acide et mauvaise :
    
    - " Regarde-toi espèce de salope, quand tu pisses tu t'arroses toute les cuisses et les fesses! Regarde-moi ces traînées de pisse sur l'intérieur de tes cuisses... Tu n'a pas honte de te faire voir comme ça! ". Agnès saisit le torchon déjà très souillé sur la table et se le passa rapidement à l'intérieur des cuisses. Elle savait que ce qu'elle essuyait n'était pas de l'urine, mais le reste de sa liqueur qui lui avait coulé là, quand elle s'était remise debout... Mais elle n'insista pas sur le sujet, ayant trop peur que l'autre s'en aperçoive...
    
    - " Salope, laissa tomber avec mépris la Brigitte, tu vois bien que tu n'es qu'une pute et même une sale pute!" Agnès ne broncha pas et s'empressa d'ouvrir la bouche pour boire le verre que lui tendait Armand. Elle but d'un trait ou presque tant elle était prête à tout accepter, y compris l'impossible.
    
    Sur cette intervention désobligeante de Brigitte, on n'avait pas entendu La Bernadette. Depuis un long moment elle se faisait branler et sucer par Hubert, le jeune blondinet qui semblait lui faire un réel plaisir. On l'entendait juste murmurer des encouragements à son lécheur :
    
    - " Ouiiii... Vas-y là, mon petit, lèche-moi bien! Suce-moi bien... Ta langue est bonne, tu sais!... Passe la bien dans le trou! Là, oui, comme ça... Putain que c'est bon!... ". La garce ...
    ... était à son affaire bien occupée de ressentir les sensations de sa fente.
    
    Armand lui, s'impatientait et réclamait depuis un long moment déjà, que la patronne lui accorde le droit de monter l'infirmière :
    
    - " Eh patronne, vous savez ce que vous m'avez promis l'autre soir... Je voudrais bien pouvoir y arriver, moi!", demandait-il d'un ton suppliant.
    
    - " Oui, lui répondit la Brigitte qui voulait garder la main sur tout, ton heure arrive mon bon... On va essayer quelque chose qui devrait te plaire!... Fais-moi voir si tu bandes bien encore..." Elle lui prit la bite en main et la caressa pour en mesurer la rigidité :
    
    - Hum, fit-elle admirative du beau sexe du rouquin, il n'y a que les roux n'est-ce pas pour bander comme ça!... C'est une très, très jolie bite, dont j'ai toujours autant envie!..." Elle cherchait en fait à valoriser les roux et les rousses dont elle était, ventant de leur sensualité et de leur sexualité débordante. D'ailleurs en temps normal dans la ferme, elle baisait souvent avec Armand. Le Jacquot le savait, mais il fermait les yeux et il n'était pas rare que lorsque le Jacquot était saoul et qu'il cuvait sa cuite toute la nuit, la Brigitte vienne rejoindre le rouquin dans sa chambre au-dessus du chai, Souvent même cela se passait avec le secours du Françou à qui il arrivait de découcher, prenant le prétexte que la Bernadette ronflait... Certes Agnès ignorait ces détails, mais cela montre qu'elle ne s'était pas trompée : la patronne, n'était pas tout à ...
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