1. Police polissonne (37)


    Datte: 20/07/2018, Catégories: Divers, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... est encore trop tôt. Déshabille-toi, je vais jouer avec toi ; n’oublie pas que ce soir tu es mon jouet.
    
    — C’est vrai, mais j’ai hâte de la découvrir, répond-elle en faisant glisser son jeans en tortillant du derrière.
    
    Une fois nue, il l’a conduit vers un fauteuil et la fait s’asseoir. Toujours habillé, il s’accroupit devant elle, prend son pied droit et tout en le massant avec une extrême délicatesse ; il lui confie :
    
    — Tu sais Sonia, dans à peine trois semaines tu vas partir, je vais te regretter et je vais être triste. Je sais que l’amour est impossible entre nous, tu vas me laisser dans cette caserne avec mes souvenirs et tes gestes parfois si doux, ou si forts. J’aime ton côté rebelle, j’aime la femme que tu es devenue, j’aime ton corps, ... Sonia, je t’aime tout simplement.
    
    La gorge de Sonia se serre car elle aussi se rend compte qu’elle éprouve des sentiments pour cet homme, elle sait qu’ils pourraient faire un beau couple ; mais il est trop tôt, elle doit terminer cette formation, passer à la suivante et retourner à Marseille où le devoir l’appel. Elle savoure ce moment où il lui masse les jambes comme il le ferait avec une pommade, quand il remonte très haut le long de ses cuisses pour atteindre son écrin toujours humide. Puis il lui prend la main et l’a fait se relever.
    
    — Va te faire une beauté.
    
    Elle passe dans la salle de bain, prend une rapide douche avec précaution pour ne pas abîmer sa coiffure et détruire son maquillage. Bob la rejoint et se ...
    ... douche, elle se plonge dans un nuage de parfum et retourne dans la chambre ; il la suit et la place devant l’immense miroir. Sans un mot il se place derrière elle et lui pose un bandeau sur les yeux et la serre tout contre lui. Il bande très fort et presse son gland contre de l’anus de Sonia. Elle comprend qu’il va la sodomiser, elle écarte les fesses prêtes à recevoir le mandrin qu’elle apprécie tant. Mais à sa grande surprise, ce n’est pas la queue du sergent qui entre en elle, mais le bijou intime que lui a offert la vendeuse du sex-shop ; il est froid et sen sphincter se resserre sur lui. Puis c’est le tissu léger qui recouvre son corps avec la même sensation que dans la boutique, la fluidité et le cordon que Bob lui attache derrière la nuque. Puis c’est au tour d’un tissu doux comme du velours qui lui enserre le cou, et enfin la délivrance et la découverte de cette robe.
    
    Toutes les sensations sont là, il ne lui manquait que la couleur et la forme pour apprécier pleinement le vêtement. Dans la glace elle ne voit que cette robe argentée qui lui arrive à mi-cuisse et dont le décolleté si large et le tissu si vaporeux effleure à peine sa poitrine qui reste pratiquement visible en permanence. En se tournant elle remarque l’échancrure qui monte très haut jusqu’à sa taille en laissant voir la totalité de sa jambe droite. Le dos est tel qu’elle l’avait ressenti lors de l’essayage, nu. La fine bretelle soutenant le haut de la robe est suffisamment lâche pour laisser entrevoir le ...
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