Police polissonne (37)
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... vous voulez bien vous déshabiller en attendant ; j’en ai pour une minute.
Elle ôte son blouson, son jeans et se retrouve en string, pieds nus et torse nu. Comme prévu Bob lui bande les yeux, elle sent un léger courant d’air, signe que la vendeuse est entrée avec la robe ; elle entend quelques bribes de conversation qui se termine par : « surprise ». Elle met en action tous ses sens de façon à détecter le moindre indice qui pourrait lui faire deviner à quoi ressemble cette foutue robe. Les premiers indices arrivent en même temps qu’un tissu léger effleure sa poitrine en la faisant frissonner. Le second est qu’on lui noue derrière la nuque un fin cordon, qui lui laisse penser qu’il doit soutenir le devant de la robe qu’elle sent à peine, et lui lasse le sentiment que le décolleté doit être profond et le tissu fluide. Le troisième indice est qu’elle a le dos entièrement nu jusqu’à la naissance de ses fesses. Pour le quatrième, c’est l’air frais qui lui caresse la cuisse droite, en lui faisant présager une échancrure montant très haut sur sa hanche. Pour preuve, la réflexion de la vendeuse :
— Je pense qu’il faudrait choisir un string dans le genre brésilien, car pour le modèle que vous portez ; la ceinture est trop voyante et cela ne fait pas beau du tout ... Pardon.
Le silence règne tout à coup et Sonia sent deux mains se saisir et faire descendre le sous-vêtement. Elle est maintenant persuadée que cette robe, si robe il y a ; elle est extrêmement légère et très ...
... échancrée pour l’obliger à être nue dessous.
— Nous allons faire quelques pas, dit la vendeuse en la prenant par la main et en la dirigeant.
Elle suit docilement et au moment où le léger brouhaha qui règne dans le magasin s’estompe puis disparaît totalement ; elle se dit qu’elle est dans la boutique et que sa tenue doit attirer tous les regards. Après quelque allée et venue elle se retrouve déshabillée et la vue retrouvée.
— Rhabille-toi, et je peux te dire que grâce à toi, la robe est magnifique.
— Si j’avais pu le voir cela aurait été mieux.
— Tu la verras ce soir. En attendant je t’invite à manger un morceau, puis nous pourrions flâner dans les boutiques, et aller au cinéma avant de rentrer pour nous préparer.
— Cool, ça fait des lustres que je n’ai pas fait de lèche-vitrines ; il faut aussi que j’achète un bouquin de code ; je passe le permis après le stage. Je vais profiter de la semaine prochaine pour le bosser.
— Sage décision, il faudra que tu bosses aussi les cours du stage.
— Tu parles, je connais tout par cœur ; tu veux que je te les récite ?
— Non... allez, on va manger et on se fait un ciné ?
— Super, depuis le temps que je n’y suis pas allé ; c’est une belle idée.
Après un repas diététique pris dans une des nombreuses brasseries du centre commercial, ils flânent de boutiques en boutiques. Sonia s’attarde dans un magasin d’accessoires, elle en ressort avec une pochette et quelques bijoux fantaisie ; dans la seule et unique librairie, ...