-
L'Africain (3)
Datte: 20/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Tarabistouille, Source: Xstory
... peur. Marie-Cécile avança timidement, elle faisait vraiment coincée avec sa jupe droit et son collier de perles et ses escarpins noirs. Une fois arrivée au milieu du salon, Mamadou se leva et s’approcha d’elle. Il se place derrière et posa ses mains sur ses hanches pour se coller à elle. Marie-Cécile pouvait sentir la bosse formée par le sexe de Mamadou contre le creux de ses reins. Elle en était troublée. Jamais quelqu’un n’avait fait preuve d’autant d’audace avec elle. Mais cela lui plaît, il y a bien longtemps qu’elle n’a pas était effleurée par un vrai mâle. Mamadou inspira plusieurs fois au niveau de son coup — Tu sens bon le parfum de bourge, toi. Ça me plaît. Dis-nous ce que tu es venue chercher ici ! — Je suis venue, car mon mari ne me tou... Elle s’arrêta de parler quand les grandes mains puissantes de Mamadou se sont mises à remonter, entrer son chemiser en mousseline et sa veste jusqu’à sous-peser ses deux grosses mamelles. — Ton mari ne te baise plus. Pourquoi ? — Il s’est trouvé une fille plus jeune que moi. — Et tu veux te venger ? — Non, j’ai envie de me sentir une femme désirée à nouveau. Voyant que Marie-Cécile se laissait faire, Mamadou malaxa plus vertement la poitrine de son invitée. — Et tu as pensé à ce que nous nous voudrions ? — Je n’y ai pas pensé. Une des mains se glissa entre les boutons du chemisier pour attraper fermement un sein, bien maintenu par un soutien-gorge en dentelle affriolante à peine voilé par ...
... la transparence du chemisier. La belle bourgeoise commença à avoir chaud aux joues par l’excitation d’avoir enfin un véritable homme qui s’occupe d’elle. Alors qu’elle ne voulait pas montrer que la température montait en elle, elle ne put s’empêcher de gémir doucement quand le géant utilisa sa deuxième main pour pétrir l’autre sein. Sa poitrine était maintenant sortie de son chemisier quand Mamadou s’arrêta et retourna dans son fauteuil. Marie-Cécile était de nouveau seule au milieu de la pièce, le tailleur ne tenait plus que par un seul bouton avec la poitrine dehors. L’image qu’elle renvoyait était loin de ses habitudes et donnait l’apparence des secrétaires à fortes poitrines que l’on voit dans les pornos. Il ne manquait plus que des lunettes pour compléter le cliché. Pendant ce temps, les deux autres compères n’avaient rien manqué du spectacle et s’amusaient de la situation qui commençait à les exciter au vu de leur jogging tendu à l’entrejambe. La quinquagénaire sous ses airs bourgeois était au fond d’elle satisfaite de faire encore de l’effet aux hommes. — Des petites salopes plus fraîches que toi qui veulent bouffer de la bite de black, on en baise quand on veut. Y qu’à sortir dans la rue pour les ramasser. Qu’est qui fait que c’est mieux avec toi, aboie Basile. Le visage de l’invitée se déconfit. Elle qui commençait à se chauffer, voilà qu’on la rabaisse à une vulgaire fille facile. Sans gêne, Momo glisse sa main sous son pantalon et se met à se caresser ...