L'Africain (3)
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Tarabistouille, Source: Xstory
... sur son clito puis sur l’intérieur de ses lèvres. Marie-Cécile gémit d’un plaisir sincère quand le majeur rentra dans son intimité. Naturellement, elle se cambra pour laisser le champ libre à la main de son amant. Il n’en fallait pas plus pour qu’il y insérât le majeur, laissant un filet de cyprine s’échapper et couler le long de la cuisse.
Bien que délaissée par son mari, elle continuait à s’entretenir et son sexe était joliment épilé avec une petite toison dorée taillée en rectangle.
— Marie, tu es trop excitante. Je ne peux pas laisser mes amis te regarder ainsi. Il va falloir que tu t’occupes de leur serpent.
Mamadou termina sa phase d’une tape sur les fesses suffisamment forte pour rougir la chair et assouvir son emprise sur elle.
La femme traversa le salon en direction des deux acolytes. Assise entre les deux hommes, elle saisissait les deux bites et commença de lents va-et-vient. Ses mains semblaient toutes petites. Elles se fermaient à peine autour des verges bien raides et la longueur devait être au moins deux fois plus grande que sa paume.
— Tu me branles avec douceur, c’est très agréable, mais est-ce que ta bouche est aussi douce ? demanda Basile.
— J’ai une bouche de velours.
A peine la phrase terminée, Marie-Cécile était à genoux entre ses cuisses. D’une main, elle continuait la masturbation de Mohamed et de l’autre, elle attira le sexe de Basile vers sa bouche.
Elle était très excitée et se sentait un peu salope. Autant de bites autour ...
... d’elle et pas des coquillettes en plus. Elle prit son temps et commença à laper le bout du gland avant de le prendre en bouche. Son mari était friand de cette gourmandise au début de leur rencontre et elle avait acquis un certain talent. Mais ici, c’était un autre calibre alors elle fit du mieux qu’elle put ou en le léchant comme une sucette.
Basile n’en pouvait plus de ce traitement. Et gémissait de plaisir.
— Mamadou, elle est super douée. Je ne vais pas tenir longtemps.
— Continue comme ça ma chérie, le sucre d’orge ne va pas tarder à te récompenser. Montre bien à Basile que tu aimes donner du plaisir.
Marie-Cécile se sentait rajeunir et avoir 20 ans, libre de disposer de son corps quand elle le souhaitait. Elle en avait bien profité à la fac avant de se ranger une fois mariée. Des étudiants, des profs, des filles aussi, et parfois quelques parties à plusieurs.
Basile se mit à se raidir, à haleter, sa jouissance n’était qu’une question de seconde. Il attrapa la tête de la femme et enfonça un peu plus sa bite dans sa bouche puis se déchargea de tout son foutre. Du sperme sortait des lèvres de la femme et quand elle fut libérée, elle se laissa tomber sur les fesses en suffoquant, mais satisfaite du travail bien fait.
— C’est la première que je vois autant de foutre sortir d’une bite, dit-elle.
Le vocabulaire surprit l’assemblée, était-elle en train de switcher et de révéler une nature plus cochonne qu’elle ne le laisse croire.
— Je vois que tu as tout ...