Une longue promenade en forêt
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
fh,
forêt,
douche,
intermast,
pénétratio,
uro,
confession,
Auteur: Ondin, Source: Revebebe
... cet endroit, ça veut dire que tout le monde peut le voir.
— On n’a pas vraiment le choix, répondis-je. Et puis, tu vas t’accroupir et on ne te verra pas.
— Mais si tu restes debout, ça va attirer l’attention. Pour que personne ne puisse nous voir, il faut que nous nous baissions tous les deux.
— Tu as raison. D’accord, dis-je en m’accroupissant presque en même temps qu’elle.
Sans prendre la peine de retirer sa culotte, elle s’adossa au tas de bois. Elle remonta sa jupe, la serrant en boule sur son ventre tandis que, de l’autre main, elle écarta le tissu de sa culotte et commença immédiatement à laisser jaillir un puissant jet d’urine qui frappa les feuilles mortes et les brindilles qui jonchaient le sol. Enhardi par la situation et par l’absence de gêne qu’elle manifestait à uriner ainsi sous mes yeux sans chercher à dissimuler quoi que ce soit, sans même réfléchir, je me risquai à passer ma main sous le jet, l’approchant de sa vulve à mesure qu’il devenait moins dru et qu’il se tarissait.
Elle parut d’abord surprise mais ne protesta pas et se laissa faire lorsque je commençai à caresser ses lèvres humides et à les écarter pour y introduire mes doigts tandis que les dernières gouttes inondaient ma main. Je la caressai ainsi tandis qu’elle dégrafait ma ceinture et faisait glisser la fermeture éclair de mon jean pour en extraire ma verge. Nous nous masturbâmes de la sorte un long moment. J’avais envie de la faire jouir et je me retenais pour ne pas éjaculer avant ...
... d’admirer son orgasme. Mais elle insista :
— J’ai envie de te faire finir, là, maintenant… Laisse-toi faire.
Je me résignai donc. Elle serrait mon sexe si fort, lui imprimant des mouvements accélérés de va-et-vient, qu’il ne lui fallut pas bien longtemps pour faire jaillir mon sperme qu’elle recueillit dans sa main. Elle poursuivit un instant de lents mouvements de masturbation puis dirigea sa main vers sa vulve qu’elle se badigeonna entièrement de sperme. Restant accroupi, je me rapprochai encore d’elle et nous nous embrassâmes fougueusement.
C’est alors qu’elle prit à nouveau ma verge dans sa main et, constatant que je ne bandais plus, elle me suggéra à brûle-pourpoint :
— Tu as certainement envie de faire pipi, toi aussi.
J’hésitai un court instant avant de répondre par l’affirmative, voyant bien où elle désirait en venir.
— Vas-y, me dit-elle alors tout en tenant ma verge.
Mon envie était certes pressante mais cela ne vint pas immédiatement. Je commençai par lâcher un filet qui ne tarda pas à s’amplifier. La tête rejetée en arrière, les yeux mi-clos, elle dirigea mon jet d’urine sur sa vulve qu’elle se caressait lentement de l’autre main. Lorsque j’eus terminé, ses cuisses et son sexe étaient trempés. Elle s’essuya délicatement avec un mouchoir. Puis nous nous relevâmes et reprîmes notre recherche de la voiture.
Le soir, lorsque nous avons pu rentrer chez elle, son mari ayant quitté les lieux avec ses enfants, nous allâmes directement dans sa chambre ...