Une longue promenade en forêt
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
fh,
forêt,
douche,
intermast,
pénétratio,
uro,
confession,
Auteur: Ondin, Source: Revebebe
Valérie était presque en soi un paradoxe. En tout cas, elle était une somme de paradoxes. Elle était bien en chair tout en étant d’une minceur étonnante. Elle n’était pas très grande mais paraissait ainsi très élancée. Sa poitrine menue était si bien mise en valeur qu’elle attirait tous les regards, à commencer par le mien. C’est en effet par là que je fus conquis.
Nous nous étions rencontrés quelques mois auparavant, nous avions sympathisé puis nous nous étions perdus de vue. Lorsque nous nous sommes retrouvés, son mari venait de la quitter. Après quelques rendez-vous, nous nous retrouvâmes un soir chez elle et ce qui devait arriver arriva. Nous nous étions revus deux autres fois après cette première et, à chaque fois, nous avions fait l’amour. J’étais sur mon petit nuage. Un quasi coup de foudre, une liaison naissante. Une liaison et non un amour car nous étions convenus qu’il ne pourrait s’agir que de quelque chose de provisoire, chacun de nous tenant à conserver son indépendance.
À notre troisième rencontre, après avoir fait l’amour, je restai chez elle pour passer la nuit. Le lendemain matin, au réveil, nous fîmes l’amour à nouveau puis nous restâmes enlacés un long moment avant de nous lever. Elle m’entraîna alors dans la salle de bain pour prendre une douche ensemble. Tandis que nous nous aspergions, elle me lança d’un air dégagé :
— Pipi.
J’eus à peine le temps de réagir qu’elle avait déjà commencé à uriner dans la baignoire. Je vis le liquide doré se ...
... mêler à l’eau qui s’écoulait le long de ses jambes pour se perdre dans la bonde. Cette vision me fit forte impression et réveilla en moi les souvenirs que j’avais de mes jeux uro avec ma femme. Tout cela semblait lui paraître parfaitement naturel et elle ne prit pas plus que moi la peine de commenter la situation.
Quelques jours plus tard, nous avions rendez-vous dans un café. Elle devait passer la journée dehors car son mari occupait l’appartement le samedi et elle ne tenait pas plus que ça à le croiser. Lorsque j’arrivai devant le café, je la remarquai tout de suite. Chemisier léger, jupe ample et, surtout, un chapeau de paille qui détonait dans l’environnement. Il faisait chaud en ce jour de fin de printemps. Elle avait déjà pris un thé mais en commanda un nouveau lorsque je commandai une bière pression. Nous échangeâmes longuement sur les sujets les plus divers mais l’essentiel de la conversation tournait autour de sa situation conjugale et de son futur divorce.
Au bout d’un long moment, nous décidâmes d’aller faire une promenade en forêt. Nous prîmes donc la voiture et, quelques instants plus tard, je me garai dans un parking en lisière de forêt. Et là, nous commençâmes une longue promenade, discutant de sujets variés, aussi bien politiques que culturels, échangeant nos impressions sur des livres, des films, des gens. Tout en parlant, nous marchions sans but, tournant à gauche ou à droite en suivant notre inspiration du moment et sans vraiment regarder où nous allions. ...