1. Une petite page d'histoire


    Datte: 20/07/2018, Catégories: fh, hplusag, couple, amour, Masturbation pénétratio, fsodo, historique, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... est « croissez et multipliez », et vous êtes bien placée pour savoir comme ça se fait en réalité. Et qui a mis en place le mode d’emploi ?
    — Je vois où vous voulez en venir… ça reflète bien ce que vous m’avez dit avant que je ne vous dise oui… je reconnais que je suis… curieuse et anxieuse à la fois… Je l’avoue. Comme vous êtes mon mari devant Dieu, je vous donne toute liberté… mais je vous demanderai de ne pas m’entraîner dans le chemin du péché mortel.
    — Est-ce un péché mortel que de vouloir profiter de votre sein et de votre téton ?
    — Euh… je ne pense pas…
    
    Je capture à pleine main son mignon sein tandis que je repose mes lèvres sur les siennes. Peu de temps plus tard, ma femme est dépoitraillée, sa poitrine offerte à mon avidité, tandis que je baise et que je suce consciencieusement ses tétons érigés. Elle frémit sous mes caresses, elle se tortille même parfois un peu, serrant les jambes, comme si elle était gênée par l’envie qui doit la prendre plus bas.
    
    Passant à l’étape suivante, j’ôte sa blanche chemise doucement, tandis que je couvre le corps que je dévoile de mille baisers brûlants. Elle respire bruyamment, n’opposant aucune résistance au dévoilement de sa nudité. Je découvre ainsi un corps juvénile empreint de maternité, aux courbes fort sensuelles. Deux seins ronds et fermes qui ont déjà allaité, un ventre arrondi qui a déjà donné la vie. Plus bas, un bosquet assez fourni et bouclé, sans oublier une fente déjà luisante de désir.
    
    Ma femme est ni trop ...
    ... peu ni trop, un juste équilibre. Je songe déjà à comment la mettre en valeur. Mais pour l’instant, mon objectif est de faire jouir ce corps et cette âme, afin de me les attacher ensuite, pour son profit comme pour le mien.
    
    Je me débarrasse de mes chausses, mon vit bien en avant et fier. Celui-ci n’est peut-être pas d’une longueur hors-norme, mais il est vaillant et bien nervuré, ce qui lui donne une belle allure. Je reconnais que j’en suis fier. D’ailleurs, je constate que ma femme semble heureusement surprise, ce qui m’est favorable.
    
    Je le pose sur son ventre, j’aime le contraste entre raideur et arrondi, entre sombre et blanc. Je contemple ce spectacle quelques instants, puis je m’allonge à nouveau à ses côtés, posant carrément mon braquemart dans la paume de sa main. Après un bref moment d’hésitation, Louise-Françoise enserre de ses fins doigts mon manche de chair.
    
    À nouveau, je caresse longuement sa poitrine et son ventre, m’égarant parfois dans son bosquet. Ma femme soupire d’aise de temps à autre, je sens qu’elle se laisse aller. Ses tétons sont dressés à l’extrême, l’odeur de sa cyprine monte à mes narines. Elle garde toujours prisonnier mon vit entre ses doigts, le tâtant parfois, le pressant un peu aussi, ne sachant pas trop quoi en faire. Alors je lui annonce :
    
    — Branlez mon vit, sentez sa chaleur, sa grosseur !
    — Oh oui, je sens tout ça !
    — Branlez-le doucement, comme ça, sentez-le palpiter sous vos doigts !
    — Oh oui !
    — Oui, continuez ainsi ! Songez ...
«12...8910...29»