Béatrice sur un chantier
Datte: 18/07/2018,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Sexe Interracial
Auteur: hondo1906, Source: xHamster
... fesses, les seins, le nombril, la chatte… Je savourai, me pâmai, me tortillai, me cabrai et gémis quand ils me pétrirent les seins, quand un ou plusieurs doigts se faufilèrent entre mes fesses et dans ma chatte. Je sentis les grosses queues des mâles collés contre moi ; mes mains partirent elles aussi en exploration et se refermèrent sur des bites énormes. Celle de Pablo était particulièrement grosse, épaisse, avec un énorme gland, et ses lourdes couilles bien pleines, le tout dans une forêt de poils. Celui-ci me tenait plaquée contre son torse velu ; il avait d’ailleurs des poils partout, le ventre, le dos, les épaules, les bras, les jambes, je sentais sa bite contre mes fesses.
Mohamed, lui, m’embrassa les seins, descendit, tourna et retourna sa langue autour de mon nombril, puis descendit encore caressant le pubis et ma fine toison blonde et me mangea pratiquement la chatte. Sous le plaisir que déclencha sa bouche et sa langue chaude et humide, j’avançai mon bassin et rejetai ma tête en arrière sur l’épaule de Pablo, qui en profita pour m’embrasser sur la bouche. Sa langue s’insinua et trouva la mienne, je lui rendis son baiser mouillé en gémissant sous la langue de Mohamed, tout en branlant la queue foncée, longue et dure de Moktar, qui me dévorait un sein, l’autre toujours malaxé par Pablo.
Très, très lentement, je descendis et me mis à genoux ; les trois hommes pressèrent mon visage contre leurs queues. Je passai tout d’abord ma langue sur le gros gland de Pablo ...
... ; sa bite eut un soubresaut, et il se projeta en avant, m’obligeant à l’avaler toute ; il grogna de plaisir, me maintenant ainsi avec sa main posée sur ma tête. Je suçai doucement, salivant beaucoup, faisant un lent mouvement de va-et-vient, ma main soupesant et caressant ses grosses couilles velues. Il semblait apprécier ma bouche et ma langue, s’agitant sur le bout et autour du gland, descendant sur la hampe, sur les bourses… Je passai ensuite à Moktar, le regardant, pendant que ma bouche allait et venait sur sa longue queue bien raide. Il gémissait, parlant en arabe. Puis à Mohamed, sa bite était belle aussi, grosse, longue et dure. Je m’attardais sur sa queue, la léchant sur toute la longueur, jusqu’aux couilles revenant vers le gland, le titillant puis, d’un lent mouvement, l’absorbai et commençai à le sucer doucement. Je revins à Pablo, procédant de la même façon envers Moktar, puis Mohamed. Dans un même temps, Pablo s’était glissé sous moi et me bouffait la chatte à son tour, sa langue me rendait folle. Je me tordais dans tous les sens, gémissant de plaisir moi aussi, encouragée par des paroles arabes que je ne comprenais pas, mais qui devaient être des mots crus. J’étais déchaînée, et je suçais tour à tour les deux Arabes qui étaient aux anges…
Les gémissements et les cris de plaisir, ainsi que les injonctions en français et en arabe emplissaient le baraquement. Mon ami, de temps en temps, retournait sous l’eau pour se calmer, le sexe toujours dressé…
Sous moi, ...