1. Béatrice sur un chantier


    Datte: 18/07/2018, Catégories: Anal Hardcore, Sexe Interracial Auteur: hondo1906, Source: xHamster

    ... j’étais coincée entre Pablo assis et Moktar qui me tenait fermement. Mohamed, en me faisant boire, renversa vicieusement une partie du liquide entre mes seins. Je poussai un cri, et vite on se proposa de m’essuyer et plusieurs mains se portèrent volontaires…
    
    Pablo, frisant la crise d’apoplexie, et qui avait défait sa chemise découvrant son torse plus poilu qu’un gorille, glissa cette fois ses deux mains sur mon ventre et, remontant, emprisonna mes deux seins en exposant à la vue mon très joli nombril, puis, il m’embrassa dans le cou et une de ses mains libérant un sein, très vite récupéré par Moktar, descendit et m’empoigna la chatte et commença à la caresser, sous les yeux de Mohamed accroupi à dix centimètres, qui me tenait fermement les genoux écartés… Je me laissai faire en me tortillant doucement et en émettant des petits soupirs de contentements qui enchantèrent les ouvriers…
    
    Moktar et Mohamed à leur tour me caressèrent le sexe, mes seins étaient maintenant complètement à l’air et les trois hommes les malaxaient, les embrassaient, pinçaient et titillaient les pointes dressées… Je me plaignis à nouveau de la chaleur, il est vrai que le temps n’était pas le seul responsable, le pastis et le reste, davantage…
    
    Pablo proposa alors une douche, que tout le monde approuva. Je me levai tout sourire, très excitée et très excitante. Nous nous dirigeâmes donc vers un baraquement à quelques pas. Moktar ouvrit la porte et nous nous retrouvâmes dans une pièce plongée dans ...
    ... une demi-obscurité et partagée en deux, une première partie avec banc et portemanteau servant de vestiaire et la deuxième partie avec plusieurs douches en commun sans aucune séparation…
    
    Je commençai à enlever très lentement mes vêtements. Lorsqu’il ne me resta plus que mon string, j’allai accrocher ma robe à un portemanteau, mais je la fis tomber à terre par « maladresse ». Je me courbai donc doucement pour la ramasser, ce qui permit aux hommes d’admirer ma croupe ; je m’attendais à entendre hennir les mâles.
    
    Puis j’ai demandé aux hommes s’ils avaient l’intention de prendre la douche tout habillés ! Je m’assis sur un banc pour les regarder faire tout en écartant les cuisses. Les ouvriers entreprirent de se déshabiller à la vitesse grand V, le regard rivé sur ma chatte encore moulée par le string, les deux lèvres étant nettement visibles sous le fin tissu.
    
    Lorsque les hommes furent nus, je contemplai un instant les braquemarts fièrement dressés en me passant la langue sur les lèvres, puis je me levai, fis descendre très lentement mon string, tournai le dos et me dirigeai vers les douches…
    
    Pablo se précipita pour ouvrir les vannes et l’eau commença à s’écouler des pommeaux… Je me mis en dessous de l’un d’eux, bientôt rejointe et entourée par les trois mâles en rut, mon ami restant pour l’instant à l’écart.
    
    Les mains des trois ouvriers s’occupaient maintenant de moi. Les bras levés je me laissai faire. Pablo, Moktar et Mohamed me lavèrent les cuisses, le dos, les ...