J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (7)
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... pénétra violemment.
Je ne pus m’empêcher de penser au gorille de la chanson de Brassens : "Supérieur dans l’étreinte"... mon œil !
Effectivement il me prit avec beaucoup plus de force qu’un homme. Ses mains, ses pattes antérieures devrais-je dire, m’agrippèrent à m’en faire mal. Ses mouvements furent d’une extrême violence et excessivement rapides. Jamais je n’avais été secouée comme cela. Il avait le maintien d’un homme et la rapidité d’un chien.
Mais sa bite était très petite, une dizaine de centimètres, et quoiqu’elle fût très dure, j’y trouvais à peine mon compte, d’autant qu’il éjacula très vite, en moins d’une minute. En revanche ses couilles étaient très grosses et j’appréciai leur frottement contre mes cuisses. De plus, il avait dû faire le plein depuis très longtemps car il me sembla découiller avec plus de vigueur et d’abondance qu’un homme. Je sentis le sperme pulser en moi et il me sembla qu’il y en avait beaucoup.
A peine eut-il fini que le jeune homme reprit la place pas gêné pour deux sous d’enfiler mon trou plein de la jute de son singe.
Le quadrumane prenait désormais le repos du guerrier. Il s’allongea à nouveau devant moi, toujours bras derrière la tête. Sa quéquette était déjà redevenue molle. Et, posée sur les grosses couilles, elle n’en paraissait que plus petite.
Le grand-père me fit savoir que le singe adorait qu’on le suçât post-coïtum.
Je ne pus résister à la curiosité de titiller ce dard mou, semblable en tous points à un sexe ...
... d’homme, en beaucoup plus noir. Je bouffais les testicules lisses avec gourmandise, d’autant qu’il y restait tu sperme assez peu, mais j’en appréciai l’arôme.
Pendant ce temps, le vieux baissait son froc devant ma bouche, sans aucune manière, laissant apparaître un chibre de belle taille dans une forêt de poils blancs.
Il sentait à peine meilleur que le singe mais la belle dureté de l’engin me décida à vaincre un premier moment de dégoût et je m’habituai finalement facilement à cette belle tige comme je m’étais faite aux sexes précédents, d’autant qu’elle pulsait bien sous ma langue.
Quand le jeune fut près de cracher sa sauce, il se retira pour que son grand-père me pénètre et me fit sucer sa bite afin qu’elle explose dans ma bouche; Bien qu’elle fut recouverte des sécrétions de mon vagin et du sperme du singe, et même à cause de cela, je m’appliquai à la sucer avec précision et ardeur.
Le grand-père fut d’une résistance que je ne soupçonnais pas. Il me prit longuement par tous les trous; Si longuement que le singe eut le temps de reprendre de la vigueur. Quand je le vis tout énervé et son petit bout rouge tout tendu, j’eus pitié de lui. Je m’approchais donc à nouveau de la pauvre bête qui me reprit aussi sauvagement que la première fois ! Ah si un homme pouvait me secouer avec autant de puissance ! En revanche, il fut toujours aussi rapide.
J’avais le singe dans le cul et Brassens dans la tête : "Supérieur à l’homme dans l’étreinte.... au jeu de l’amour vaut ...