1. J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (7)


    Datte: 29/01/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Je n’étais plus très loin du château désormais et, au fur et à mesure que les kilomètres diminuaient, l’excitation reprenait de la vigueur. J’étais à nouveau chaude comme une baraque à frites. Sûr qu’en arrivant il faudrait d’abord qu’on me démonte le capot avant d’ouvrir celui de la bagnole pour en retirer mes valises.
    
    J’aurais bien voulu rouler toute nue mais ce n’était pas possible. On ne sait jamais... un contrôle de gendarmerie. J’avais cependant ouvert mon chemisier le plus possible et remonté ma jupe au ras de la touffe, tellement ras qu’elle était à l’air mais il aurait fallu être en hauteur pour le voir... un camionneur aurait pu... sait-on jamais.
    
    Ma chatte, ainsi caressée par le vent chaud, mouillait à nouveau. Le temps pressait, j’accélérai.
    
    Au détour d’un chemin, j’aperçus, faisant de l’autostop, un jeune homme dont le débardeur et le pantalon serré (une sorte de legging) moulaient les formes généreusement athlétiques. Dieu qu’il devait avoir chaud !
    
    Il était dans le sens opposé à ma route aussi fis-je demi-tour pour le prendre... et surtout pour qu’il me prenne.
    
    Penché au dessus de la portière droite, il me salua mais se troubla immédiatement en apercevant mon décolleté largement ouvert et, sûrement, ma touffe à l’air et ma moule luisante.
    
    - Je peux vous aider ?
    
    - Euh.... oui... oui, oui. Pouvez-vous me reconduire jusqu’à la voiture de mon grand -père ?
    
    — Bien sûr, indiquez-moi le chemin.
    
    Et en roulant, il m’expliqua qu’il était ...
    ... tombé en panne avec la camionnette de son grand-père. Il avait fait quelque kilomètres à pieds pour trouver du réseau et prévenir quelqu’un de venir les aider et maintenant, il retournait à son véhicule.
    
    Il appartenait à une famille de gens du cirque. Leur fourgonnette était tombée en panne alors qu’ils fermaient le convoi et que les autres avaient continué sans se rendre compte de rien.
    
    Il ne fallait pas être très observatrice pour voir qu’il bandait. Rien qu’à l’idée de lui faire cet effet mon excitation augmenta d’un cran.
    
    La camionnette était garée à l’ombre. Je le déposais à côté et descendis. Il n’y avait personne.
    
    - Ton grand-père n’est pas là ?
    
    - Ben non... Il a dû aller se dégourdir et chercher un endroit plus frais.
    
    - On peut l’attendre ensemble si tu veux...
    
    Il ne se méprit pas sur le sens de ma proposition d’autant moins qu’au même moment je faisais sauter les derniers boutons de mon chemisier pour libérer ma poitrine haletante. Il retira son marcel et baissa son froc en homme décidé qui n’a pas de temps à perdre. Bien ! Le garçon était sans doute moins novice que mes deux charpentiers de tout à l’heure. On allait peut-être s’amuser un peu plus. Sa queue surgit dans un balancement majestueux. Grosse et belle, bien poilue, tendue à souhait.
    
    Ce garçon avait tout pour plaire. Je me précipitai dessus pour le pomper.
    
    Son sexe sentait fort la sueur et son slip était imprégné de cette odeur mais j’appréciai cette marque de virilité masculine qui ...
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