CHARLINE (ou comment je suis devenue la chienne de mon beau-père) (8)
Datte: 18/07/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Fantasmatique, Source: Xstory
Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination FANTASMATIQUE. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
Chapitre 9 : Où je me fais percer.
Je me suis mise debout et j’ai repris ma position d’attente, les jambes flageolantes. Sainte Virginie a dit :
— Tu as eu raison, derrière ses airs de jeune fille timide c’est une vraie petite chienne bonne à dresser. Mais tu ferais bien d’être prudent, car tu risques de perdre Julien comme tu as perdu Charlotte s’il découvre le pot aux roses trop tôt !
Puis elle ajoute après une courte pause :
— Tu me la prêteras ?
Sans me regarder, Monsieur a répondu :
— Je vais y réfléchir
— Tu devrais la faire percer !
— Julien risque de trouver ça bizarre, vu qu’il croit vivre avec une petite oie blanche
— Et bien justement, il m’a dit qu’elle est très pudique et que personne, pas même ses parents, ne l’a jamais vue nue mis à part lui. Je ne doute pas que grâce à toi dans peu de temps elle aimera s’exhiber, mais il suffira qu’elle continue à jouer les timides avec ses proches, et personne ne se rendra compte de rien. Pour ce qui est de Julien, j’ai ma petite idée ! Il suffira qu’elle refuse de lui écarter ses cuisses en prétextant avoir la migraine. Je le connais, il va venir me demander conseil et je lui dirai que la faire percer est un excellent moyen de soigner ses maux de tête. Il l’a cru quand tu as voulu que je fasse percer les ...
... tétons et le clitoris de Charlotte, avant que tu ne nous abandonnes. Quant à moi il ne m’a jamais vue nue, on le faisait toujours garder par sa tante quand on organisait nos petites soirées, ça nous a posé assez de problèmes parce qu’il était jaloux que sa sœur ait le droit de rester avec nous et pas lui !
Monsieur est demeuré pensif pendant quelques instants, puis il a répondu :
— À ça aussi je vais y réfléchir.
Sainte Virginie s’est alors tourné vers moi, et elle m’a dit :
— Je dois y aller, tu me raccompagnes Charline ?
Étonnée qu’elle m’appelle par mon prénom, j’ai quitté ma position de soumise et j’ai répondu :
— Bi… bien sûr Madame.
Ensuite elle a ajouté en me faisant un petit sourire :
— Finalement j’ai changé d’avis, tu peux m’appeler Virginie mais tu continueras à me vouvoyer !
— Euh… bien Virginie.
On est allées toutes les deux dans l’entrée, je l’ai aidée à remettre son imperméable, et avant de partir elle m’a fait la bise. Apparemment, elle en venait enfin à me considérer comme faisant partie de sa famille. Quand je suis revenue au salon, Monsieur m’a dit :
— Rhabille-moi ! Je vais y aller aussi.
J’ai obéi, et avant de me quitter à son tour il m’a dit :
— On parlera des propositions de Virginie par mail, car je veux que tu prennes le temps d’y réfléchir !
— Bien Monsieur.
Et il est parti.
Avant qu’il n’ait eu le temps de quitter l’immeuble j’avais déjà allumé notre ordinateur, et je lui ai envoyé mon premier message ...