Vacances 2018 (5)
Datte: 17/07/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: dominic47, Source: Xstory
... et le feu d’artifice se mettra en route.
Elle accentue donc parallèlement ses aller-retour. L’œillet détendu est animé de spasme alors que les clapotis engendrés par les va-et-vient dans le vagin deviennent plus sonores. Ophélie est à bout, les paroles humiliantes et salaces fouettent sa libido, elle ne sait plus où elle est, une déferlante remonte de son ventre pour exploser bouche grande ouverte sur un cri déchirant. Christine appuie alors sur la fraise tuméfiée, relançant de plus belle cette merveilleuse jouissance et c’est le coup de grâce, les râles se poursuivent, la tête sur l’épaule de Christine, Ophélie est dans le coton, ses jambes la lâchent. Sa belle-sœur a juste le réflexe de la rattraper sous les aisselles pour ne pas qu’elle s’effondre et ensuite lui replace ses vêtements pour que sa tenue soit décente. Elles n’ont pas très loin pour se rendre au rendez-vous, mais en ville, Ophélie doit être un minimum vêtue.
Elles marchent donc bras dessus bras dessous, la tête d’Ophélie sur l’épaule de Christine, elle est encore dans son nuage.
Elle ne fait d’ailleurs pas attention à la boutique dont elle franchit la porte. Comme dans un rêve, elle se voit installée sur un fauteuil. Sa chérie n’arrête pas de lui parler, ses paroles sont douces, enveloppantes, rassurantes, elle lui explique qu’elle l’aime tellement qu’elle va lui offrir un cadeau, un présent pour leur amour. Comme c’est une surprise, Christine lui met un bandeau pour occulter sa vision, l’embrasse ...
... langoureusement puis tout en continuant à l’abreuver de mots doux qu’elle lui susurre à l’oreille, elle lui relève son caraco et lui masse la poitrine.
— Tu étais belle tout à l’heure quand je t’ai fait jouir. Je t’aime de plus en plus ma chérie. Et puis quand tu es cochonne et que tu te donnes à moi sans réserve, tu me rends dingue. J’ai envie de faire des choses vilaines avec toi.
Dans cet état euphorique et grisant, Ophélie est complètement sous emprise, elle ne réagit pas quand sa belle-sœur lui place ses jambes dans des gouttières, qu’une autre personne les sangle délicatement tandis que Christine lui caresse l’intérieur des cuisses. Son amante entretient un climat de bien-être puis doucement, les mains se positionnent sur sa vulve bouillante, son souffle s’accélère, elle est dans l’incapacité de réagir, le désir reprend le dessus, elle ne contrôle plus son corps.
Christine en profite pour tapoter son sexe, plonger ensuite deux doigts dans le con poisseux et enfin tourne autour du clitoris. Ophélie est en apnée, elle gémit puis jouit sans retenue.
C’est ce moment que saisit le perceur pour saisir le capuchon et le traverser par une aiguille. Ophélie n’a pas le temps de se rendre compte de ce qui lui arrive, or la douleur est fulgurante et même si Christine s’est penchée sur elle pour l’embrasser, elle ne couvre que partiellement le cri qui s’échappe. Des larmes s’écoulent.
Pendant la mise en place de l’anneau sur le capuchon, Christine la rassure, la console ...