1. Vacances 2018 (5)


    Datte: 17/07/2018, Catégories: Erotique, Auteur: dominic47, Source: Xstory

    ... atterrit dans son cou et sous ce doux contact, elle incline la tête, savoure les cajoleries de sa chérie, se cambre pour sentir plus fortement les fesses de sa compagne, quand deux mains empaument ses seins et les caressent amoureusement.
    
    — Est-ce que tu m’aimes Christine, lui demande Ophélie d’une voix tremblante.
    
    — Oh oui, ma chérie.
    
    — Je ne sais pas ce qui m’arrive, je n’arrive plus à me passer de toi. Je t’aime comme une folle. Dis-moi que tu ne m’abandonneras pas ! ... Je t’en supplie.
    
    — Ne t’inquiète pas ma chérie, tu es à moi et je ne te laisserai à personne. Si tu savais combien de fois j’ai rêvé d’être avec une femme comme toi.
    
    Sur ces paroles rassurantes, Ophélie accentue la pression sur le corps de son amante, ses mains serrent les seins, maltraitent les pointes, puis glissent sur tout le corps, dessinent des arabesques sur les formes harmonieuses, ses lèvres délaissent le cou et descendent sur la colonne vertébrale. Christine lâche la tasse et agrippe le plan de travail, elle s’abandonne à ses caresses.
    
    — Ne t’arrête pas, coquine, je mouille comme une folle.
    
    Embrasée par ces mots, Ophélie redouble ses attouchements, les mains descendent de chaque côté du buste, les doigts sont légers, ils effleurent la peau, ravivent les sens, subliment les formes, puis elle s’agenouille derrière son amante, écarte les globes fessiers et plonge dans les profondeurs. Sa langue se met alors en action pour récolter le jus qui s’écoule, sucer le bourgeon qui se ...
    ... dévoile et ensuite remonter vers la raie culière, lécher l’œillet qui frémit.
    
    — Tu vas me rendre folle mon adorable cochonne.
    
    Avec ces paroles, Ophélie est libérée, électrisée, elle s’autorise alors une primauté, écarte plus fortement à deux mains les masses joufflues, titille l’anneau fripé, assouplit la rosette réfractaire, force le trou à s’ouvrir. Christine tremble sous cet assaut divin, se cambre exagérément, son corps est sous emprise, elle souffle, râle, puis invective sa chérie.
    
    — Tu n’es qu’une garce, tu vas me faire jouir salope... surtout ne t’arrête pas... oh putain que c’est bon ... Ne me laisse pas languir, mets tes doigts, enfonce-les, dépêche-toi espèce de garce.
    
    Concentrée sur sa tâche, Ophélie est heureuse que son amante apprécie ce qu’elle lui fait pour la première fois. Hier, elle découvrait les plaisirs de l’anulingus et c’est tout naturellement qu’elle voulait rendre ce plaisir à Christine. Elle se surprend d’ailleurs à être excitée par ce qu’elle fait, aussi surprenante que cela puisse paraitre, elle apprécie les saveurs épicées de sa chérie, sa chatte poisseuse ne la contredit pas.
    
    Aussi, c’est naturellement qu’elle récolte la mouille qui s’écoule, lubrifie ses doigts, masse délicatement l’œillet, l’apprivoise, puis introduit doucement le majeur dans l’anneau accueillant et l’enfonce graduellement dans le cul de Christine.
    
    — Oh ! ça y est, tu me doigtes le cul, salope... Ça te plaît... oh, tu me rends folle !
    
    Ophélie commence à faire ...
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