Dérapages. 02
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... avant que je ne puisse plus progresser, lui dévastant les entrailles. Son corps est secoué de spasmes sur l'effet de la douleur. Pourtant j'y suis allé en douceur. Le forceps c'est pour maintenant. Alors que ma belle-fille se calme un peu, tant que je reste immobile, je la saisis aux hanches. Je veux l'enculer totalement, j'y arriverais. Je bouge à peine en lui attrapant les hanches. Manon crie de douleur.
- Sors, par pitié, sors...
Pour toutes réponses, je me propulse en avant tout en la tirant vers moi. Son hurlement est horrible, long, guttural. Manon se redresse sous l'effet de la douleur, avant de s'écraser de nouveau sur le canapé. Son corps est secoué de spasmes, il se couvre de sueur. Pourtant je n'ai gagné que quelques centimètres, je ne suis enfoncé que de moitié en elle. De nouveau je m'immobilise dans son anus. J'ai une vue magnifique sur mon pieu ficher dans son cul, lui dilatant au maximum les fesses. On dirais qu'un bras sort de son cul, en effet, ma bite est aussi large qu'un poignet de ma belle-fille. Je lui caresse les cheveux.
- Allez, courage ma petite chienne.
- J'en peux plus, je t'en supplie, je n'en peux plus. Sors, je t'en prie...
- Pourquoi je te ferais ce plaisir?
- Je... Je ferais tout ce que tu veux...
- Que je t'encule ou pas, tu feras tout ce que je veux. Alors autant t'enculer.
Pour prouver mes dires, je donne de nouveau un puissant coups de reins, lui ravageant les entrailles. Elle a l'impression que son cul explose, ...
... que des centaines de bouts de chairs éclaboussent les murs du salon. Que plus jamais son anus ne se refermera. Pourtant il reste encore un bon tiers de ma bite à rentrer.
- Léo, tu vas me tuer, je te jure, tu vas me tuer!
Je moque de ses supplique, on a jamais tuer personne en l'enculant. Alors je me propulse en avant une fois de plus. Cette fois mon ventre heurte les fesses de ma belle, mes couilles frappent sa chatte. Manon cabre comme une folle, poussant un hurlement encore plus puissant que les précédents. Un hurlement de bête sauvage blessée à mort. Je savoure ses tremblements, les spasmes de son corps. Elle me branle littéralement la bite. Mon engin est tellement gros par rapport au fourreau qu'il force, que mon sexe est serré sur toute sa longueur, comme dans un vagin. Ce qui est rare dans un enculage, normalement seul la base du pieu est serré. Pas là. Manon c'est écroulée de nouveau sur le canapé. La douleur est telle que son corps en tressaute. Je me couche sur son torse, je passe mes mains sous nos corps. Je saisis ses seins ferme. Je m'en sers comme point d'ancrage. Je me retire, d'abord presque entièrement, avant de la ré-empaler d'un seul coup. La douleur est immense pour elle, son hurlement terrible. Elle cabre tellement, qu'elle réussit à me soulever. Je recommence l'opération une dizaine de fois. Lui arrachant le maximum de douleur, la brisant complètement. Manon a l'impression d'être empalée par une batte de base-ball. Son visage est atrocement déformé ...