Dérapages. 02
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... manque d'air, ses yeux exorbités menacent de sortir de leurs orbites. La jeunette a des haut-le-cœur.
- Si tu vomis, je te tue!
Alors de tout son corps, elle se retient de vomir.
Je reste une minute ainsi, puis je me retire totalement de son visage. Manon reprend immédiatement de l'air, on dirait d'abord un poisson que l'on vient de sortir de l'eau. Puis elle avale l'air, respirant comme une asthmatique. Je la laisse un peu respirer, puis je l'enfonce de nouveau en entier sur mon pieu. De nouveau elle manque d'air, étouffant. De nouveau je la laisse respirer, avant de m'enfoncer de nouveau en entier. Je répète l'opération une dizaine de fois. Avant de me mettre à la pistonner à une vitesse ahurissante. A chaque fois son nez heurte mon ventre, pour mon plus grand plaisir. Au bout de dix minutes, je me fiche complètement dans son somptueux visage. J'éjacule directement dans sa gorge, me vidant en jappant de plaisir.
Une fois bien vide, je retire ma bite, elle est couverte de bave, de glaire.
- Je pense qu'elle est assez mouillée. Mets toi sur le canapé. Genoux sur le sol, torse sur les coussins.
Manon m'obéit.
- Je vais t'enculer.
- Pitié, pas ça... Léo, tout mais pas ça.
- J'ai envie je le ferais. Tu sais parfaitement que pour ton bien, il vaut mieux que tu coopère. Tu vas m'obéir, n'est-ce pas?
- Oui.
- Parfait. Écarte tes fesses avec tes mains.
Tremblante, ma belle-fille obéit. Ses mains écartent ses petites fesses au maximum. Je lui ...
... caresse le crâne.
- C'est bien, tu es une bonne putain obéissante.
Manon ne me répond pas. Je m'agenouille derrière-elle. Mon braquemart plus bandé que jamais à l'idée de ce que je vais lui faire. Je pose mon gland mouillé, lubrifié par sa salive contre la petite étoile plissée qui garde l'entrée encore vierge de ses reins. Vu la taille de ma bite, ce viol va être destructeur, la douleur et les ravages considérable. Mais je m'en moque, je n'ai qu'une seule idée en tête, l'enculer comme un sauvage. Je pose mon gland contre son anus. Je me mets à forcer, son sphincter résiste héroïquement. Manon me supplie.
- Pas ça! Je t'en supplie, pas ça!
Elle répète cette phrase sans arrêt. Moi je force, mais il n'y a rien a faire, mon sexe ne peut pas rentrer. Mon gland ripe plusieurs fois, j'évase son œillet anal avec mon gland. Mais le contraste est saisissant entre mon gland énorme et son petit trou du cul. Puis finalement, le sphincter cède, la moitié de mon gland pénètre la bien trop étroite ouverture. Le hurlement de Manon est horrible, pourtant cette chienne continue d'écarter ses fesses. Je souris devant sa soumission. Mais ce n'est qu'un début, le plus dur commence pour elle.
- C'est bon ma petite putain, tu peux lâcher tes fesses.
Une nouvelle fois Manon m'obéit. Elle met ses bras sous son visage, posant sa tête dessus. Moi je la saisit aux hanches. Je m'enfonce doucement dans ses reins. La faisant longuement hurler. Ma bite s'enfonce d'un tiers dans son fondement, ...