Rafik
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
fplusag,
fagée,
extracon,
cadeau,
fsodo,
confession,
Auteur: Paulo, Source: Revebebe
... l’air un peu niais. Je l’emmène au salon. Ma femme est assise sur le sofa. Elle est en jupe et chemisier comme d’habitude. Elle se tient droite, les genoux serrés. Elle a mis du rouge à lèvres. Ce qu’elle ne fait jamais ! Il est trop rouge et mal mis. Elle se lève et ils se serrent la main. Il dit : « bonjour, madame ». On dirait un entretien d’embauche.
Il s’assoit sur le bord d’un siège. Je m’assieds sur un autre siège. Ma femme retourne sur le sofa. On boit le thé, personne ne sait quoi dire, tout le monde est gêné.
Ma femme finit par dire pour rompre ce silence pesant :
— Alors comme ça, vous faites des études de médecine ?
— Oui, répond simplement Rafik.
— J’espère que vous faites bien vos devoirs, dit-elle avec un petit rire nerveux. Hi Hi Hi !
Rafik ne répond pas. Il me regarde comme s’il ne comprenait pas.
Ma femme, un peu exaspérée, dit en se levant :
— Bon, je vais dans la chambre.
Rafik et moi la suivons peu après dans la chambre.
En entrant, je n’en reviens pas : ma femme est allongée sur sa robe de chambre, ses grosses cuisses relevées et écartées, sa chatte avec tous ses poils, ses grosses fesses, ses gros seins blancs qui pendent de part et d’autre de son buste. Les yeux simplement ouverts vers le plafond. Elle attend.
Rafik est lui aussi étonné. Ses yeux deviennent brillants et restent rivés sur la chatte de madame. Il se déshabille lentement, le regard ne fixant rien d’autre que le cul de ma femme. Il est petit et maigrichon, ...
... mais musclé. Il bande comme un taureau. Il une bite droite, fine et surtout dure et rigide comme de l’acier. Il s’approche de ma femme, se met dans l’axe et pose ses mains sur ses genoux.
Ma femme redresse la tête pour me dire :
— Tu es sûr, mon chéri, que ça ne te dérange pas, hein ?
Je n’arrive pas à répondre. Je lui renvoie un sourire crispé.
Rafik lui caresse d’abord les genoux en les écartant encore, puis il passe ses mains à l’intérieur de ses cuisses en descendant jusqu’à sa chatte, écartant encore les cuisses d’Yvonne. Il semble jauger ma femme du regard. Il passe son index entre les lèvres de sa chatte. Elle semble surprise par ce geste. Je l’entends dire d’un ton monotone, comme avec moi, le regard toujours vers le plafond, « Oh oui, c’est bon ! Oh oui, c’est bon ! ».
Rafik place ses mains à plat de part et d’autre du sexe de ma femme et lui écarte doucement les lèvres. Il approche son sexe de son ouverture. Il présente son gland. Lentement, il enfonce, il enfonce encore, il l’enfile. Dans le même temps, ma femme change d’expression, elle est interloquée, elle devient toute rouge, elle ne respire plus, ses mains sont crispées sur les draps, on dirait qu’elle va perdre connaissance. La bite de Rafik est maintenant entièrement enfoncée dans ma femme, il pousse encore. Elle finit par lâcher son souffle dans un râle non maîtrisé. Elle est toute rouge, les yeux fermés.
Rafik commence alors un travail soigné. Il la lime d’abord par de longs et lents ...