Evolutions (48) - Histoires de Sexe

Evolutions (48)

... nous faire jouir de cette façon, c’est pourquoi après s’être assurée que nos virilités ne lui feront pas défaut, elle me désigne le gazon sur lequel je m’allonge sans tarder sur le dos. Lorsque je suis en place, elle vient se mettre à califourchon sur moi, et elle reprend mon sexe en main pour le guider jusqu’à l’entrée de son vagin.

Je suis cette fois encore surpris, de constater que son conduit est prêt à me recevoir lorsque je pénètre en elle, puisque je le trouve à la fois humide à souhait, et dilaté au point qu’il ne m’oppose qu’une résistance symbolique.

Cependant, je ne fais pas de remarque à ce sujet, et une fois que ma queue s’est enfoncée sur toute sa longueur, mon petit bout de femme se penche en avant pour venir déposer un rapide baiser sur mes lèvres, puis elle dit à son beau-fils :

— À toi de jouer mon Apollon. Et surtout, n’aie pas peur de me faire mal, car j’aime quand ça me pique les yeux.

Il ne se fait pas prier, et après s’être mis à genoux entre mes jambes et derrière notre partenaire, il attrape cette dernière par la taille, et il s’enfonce en elle d’un seul coup de reins. Sa belle-maman pousse alors un gémissement de douleur, tout en me fixant de ses beaux yeux marron-clair, ce qui ne l’empêche pas dès qu’elle a été embrochée par nos deux membres de se mettre en mouvement tout en geignant doucement.

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C’est comme toujours pour moi un vrai régal de sentir la lourde poitrine d’Alice se déplacer en se frottant contre mon torse, tandis ...

... que mon sexe coulisse lentement en elle. Bien entendu et pour la deuxième fois, il n’est plus le seul, puisque celui d’Henry est en train d’en faire autant dans son fondement, mais cela augmente mes sensations, alors que celles de notre partenaire doivent être décuplées.

Cela je le constate en la fixant dans les yeux, alors qu’hier soir, je n’ai pas pu m’en rendre compte puisqu’ils étaient bandés. Mais dans son regard, je ne vois pas que de la jouissance, mais également tout l’amour qu’elle me porte. C’est en tout cas ce que je me plais à croire, tandis que ses geignements gagnent en intensité, mais pas en longueur, et qu’elle augmente peu à peu la cadence qu’elle nous impose, puisque mon fils et moi restons relativement passifs.

C’est au bout d’une dizaine de minutes que mon petit bout de femme est prise d’un orgasme, pour le moins aussi puissant que celui de la veille. Je vois alors ses yeux se révulser tandis qu’elle redresse tout à coup la tête, avant de s’écrouler sur moi, épuisée par le plaisir intense qu’elle vient de ressentir.

Bien entendu, ses contractions, autant anales que vaginales, nous ont stimulés, mon fils et moi au point que nous nous vidons en elle, et tandis que mon sperme jaillit par saccades de mon sexe tendu à l’extrême, je pousse un grognement de satisfaction.

Lui aussi repu de plaisir, Henry ne tarde pas à se retirer de deux manières différentes, puisque dès qu’il s’est remis debout, il se dirige vers la villa après m’avoir fait un sourire, ...