1. Evolutions (48)


    Datte: 15/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Fantasmatique, Source: Xstory

    ÉVOLUTION
    
    Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
    
    Chapitre 48 : La cougar bavarde.
    
    Le lendemain lorsque je me réveille, je constate qu’Alice l’est déjà. Elle s’est tournée vers moi pour me regarder dormir, et un sourire est affiché sur son beau visage lorsque j’ouvre les yeux. Comme tous les matins, je m’étire et je lâche un pet sonore, ce qui n’a pas l’air de la choquer, mais au contraire de l’amuser. Je dois dire à ma décharge que ces éjections de gaz sont parfaitement inodores.
    
    Comme mon petit bout de femme se contente de me fixer en silence, je lui demande :
    
    — Mes ronflements t’ont tirée des bras de Morphée, ma Chérie ?
    
    — Non mon Amour. Je te confirme qu’effectivement tu ronfles, mais ce n’est pas si terrible que ça.
    
    Je ne lui parle pas des ronronnements de chatte qu’elle fait en dormant, qui ont le don de m’attendrir au lieu de m’agacer, et je lui pose une autre question :
    
    — Alors c’est l’inconnu d’hier soir qui a troublé ton sommeil ?
    
    — Pas plus que ça, même si j’ai toujours très envie de savoir qui c’est.
    
    — À quel point ?
    
    — Au point de faire la grève du sexe, jusqu’à ce que tu me le dises.
    
    Je l’observe quelques instants pour savoir si elle est sérieuse, tandis que son sourire est devenu ironique, et j’en arrive à la conclusion que non. Car je suis convaincu que non seulement ses besoins ...
    ... sont plus importants que les miens dans ce domaine, mais qu’en plus, contrairement à elle, je n’aurais pas de problèmes pour me tourner vers une autre partenaire si je venais à être en manque.
    
    Cependant, pour lui faire plaisir, je joue le jeu et je réplique :
    
    — Tu en serais capable, tant tu as des dispositions pour me torturer mentalement et physiquement.
    
    Puis j’ajoute malicieusement :
    
    — Ce qui est vraiment étrange de la part d’une femme qui prétend avoir des fantasmes de soumission.
    
    ₪₪₪
    
    Tandis qu’Alice rougit, j’ai droit à un petit coup de poing sur l’épaule, destiné à me montrer ce qu’elle en pense, cependant elle ne prononce plus une parole, ce qui m’étonne de sa part. Et étant donné que je n’ai pas l’intention de la tourmenter davantage, ce qui reviendrait à me comporter avec elle comme j’ai prétendu qu’elle le faisait avec moi, je finis par lâcher :
    
    — C’était Henry.
    
    Mon petit bout de femme devient immédiatement écarlate, et je poursuis sur le même ton :
    
    — Il était déjà là hier soir quand on est rentrés, et il a dormi ici, dans une des chambres qui sont de l’autre côté de la maison. Alors maintenant tu as le choix, soit je vais le trouver pour lui demander de s’en aller, soit tu décides d’assumer la réalisation de ton fantasme.
    
    Elle me répond, tandis que son beau visage reprend peu à peu une teinte normale :
    
    — Je n’ai pas honte de ce qui s’est passé, même si je t’avoue que pas une seconde je n’ai pensé à lui.
    
    — Je pouvais difficilement ...
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