Même le fils des voisins
Datte: 15/07/2018,
Catégories:
fh,
amour,
noculotte,
entreseins,
Oral
pénétratio,
init,
Auteur: Vibescu, Source: Revebebe
... mon petit trou étroit et très serré. Le gland avait réussi à franchir l’obstacle mais j’avais hurlé de douleur quand il s’était un peu plus enfoncé et il avait dû renoncer.
C’est moi qui avais insisté pour qu’on recommence, je ne voulais pas « mourir idiote ». Un après-midi où on se caressait sur son lit devenu notre lit, j’ai placé un coussin sous mon ventre et je lui ai dit que c’était maintenant. Il est revenu avec un gros flacon de lubrifiant. Un doigt, puis deux, même pas mal, bien que j’aie préféré la sensation d’un seul doigt. Il s’est enduit aussi le sexe et a voulu me lubrifier un peu plus en plaçant le flacon entre mes fesses, sauf qu’il a appuyé un peu fort et que j’ai poussé un cri de surprise quand j’ai senti l’intégralité du liquide gicler en moi. Sans attendre, Gaby a envahi la place, j’étais aussi excitée qu’inquiète. Il m’a dit de pousser, comme pour l’expulser, ce que j’ai fait et à ma grand surprise il a glissé très progressivement jusqu’au bout, sans douleur. Un ou deux allers et retours à peine, il m’a murmuré que j’étais serrée, qu’il allait jouir, je me caressais, j’y étais déjà, il est retombé sur moi, pesant de tout son poids.
J’ai repris conscience un peu plus tard, plutôt fière de moi, mais en ressentant l’urgence d’aller faire un tour aux toilettes, et de virer le rugbyman qui pesait de tout son poids avec de plus son gros machin planté dans mon derrière ! Il s’était retiré doucement pour ne pas me faire mal, et j’avais pu courir ...
... m’enfermer dans les toilettes. J’avais eu la bonne idée de pousser le verrou, car j’avais à peine commencé à me vider que Gaby essayait d’ouvrir.
— Ouvre-moi, je t’en supplie, je me sens rejeté, abandonné ! Tu sais quoi, je viens de réaliser que le secret d’une sodomie réussie réside dans une lubrification parfaite (j’entendais mon ingénieur se marrer à travers la porte) et qu’il va falloir prévoir le budget si tu y prends goût !
Je n’ai pas vu passer le temps ni les années avec lui. On n’a eu pas d’enfant d’un commun accord, Gaby étant prêt à m’en faire si j’y avais tenu, comme moi pour lui. Nos diplômes en poche, j’ai commencé à faire des traductions pour des maisons d’édition, Gaby a opté pour ce qui l’intéressait le plus, le département recherche d’un constructeur européen d’hélicoptères.
C’est ainsi qu’on est venu vivre en Provence où nous avons acheté une maison que j’adore, un peu à l’écart d’un joli village, à une demi-heure de voiture de son boulot. Au bout de deux ans, il a eu une proposition d’embauche à l’Agence Spatiale Européenne, un poste basé à Paris, mais je me sentais tellement revivre au soleil qu’il a insisté pour que je reste, avec le rythme de travail qu’il avait il rentrait tard, partait tôt et on faisait surtout l’amour le week-end et ses jours de congé, moi je travaillais à la maison.
Il a pris l’avion au début, puis le train quand il y a eu une gare TGV à cinq minutes de chez nous. Je trouve que Gaby n’a pas changé, il s’entretient pour ne pas ...