1. Même le fils des voisins


    Datte: 15/07/2018, Catégories: fh, amour, noculotte, entreseins, Oral pénétratio, init, Auteur: Vibescu, Source: Revebebe

    ... j’aime bien le mot « queue » à cause des bandes dessinées de Reiser : « Tu la sens ma grosse queue ? Oui je la sens bien ! » Mais si tu me dis ça pendant l’amour, je te préviens que je risque d’éclater de rire. Et puis tu peux me parler de ta bite quand tu veux dans l’intimité, tout compte fait, j’aime bien aussi, et si c’est pour moi qu’elle se transforme en trique, comme celle qui vient de me pénétrer, je suis preneuse. Et maintenant tu me rends ma culotte, et comme tu m’as dit que tu avais encore du travail, tu arrêtes de me raconter des cochonneries et de m’en faire dire, on en fera demain.
    
    Au fil des mois, sans rien précipiter, Gaby a continué à faire s’épanouir de plus en plus notre amour et notre complicité. On avait choisi ensemble mon épilation sur une revue féminine : j’étais jusque-là très classique pour l’époque. La totale non, il aimait mes poils, brésilien, ou bien bikini, ticket de métro, oui ça lui plaisait bien, mais pas trop petit, hein le ticket ! Une fois « mon bijou sorti de son écrin de poils » (poète mon mec, quand il s’agit de son bijou préféré !) il était devenu intarissable sur mon minou : comment il était finement ciselé, combien il était changeant, parfois fermé, une fente interdite mais qui s’ouvrait rien qu’en la regardant, d’autres fois à peine entrouvert, laissant suinter une humidité de sous-bois, enfin quelquefois bivalve ouvert, le clitoris comme une perle dans un coquillage ruisselant. Je crois que j’aurais pu jouir sous la caresse de ...
    ... ses mots, mangée par ses yeux, dévorée par son regard, mais au plus fort de l’excitation je l’arrêtais par un « Viens ! » impatient pour que sa bouche vienne à son tour me manger et me dévorer.
    
    D’autres fois mes cuisses encore plus largement ouvertes et mon bassin tendu l’invitaient à plonger sa queue prête à exploser dans mon minou affamé qui voulait être nourri de son lait tiède et quelques effleurements des doigts sur mon clitoris devenu énorme, douloureux à force de tension d’amour suffisaient pour que je crie ma jouissance.
    
    J’ai très vite adoré sucer son sexe, pardon sa queue, autant qu’il aimait lécher le mien de sexe, non, de minou. Je commençais souvent par le caresser entre mes seins, il en raffolait. Au début je n’arrivais pas à avaler son sperme, ce qui ne le gênait pas du tout. Moi, je voulais arriver à vaincre ma répulsion, j’y étais vite parvenue, le goût qu’il laissait sur ma langue était devenu familier. Il s’est étranglé de rire quand le soir même je lui ai déclaré très sérieusement que je ne voulais pas qu’il me trompe avec une pétasse juste parce qu’elle avalait, et que s’il m’épousait, je voulais être l’épouse la plus coquine au monde.
    
    Assez rapidement sa langue s’était égarée entre mes fesses, ce qui me plaisait beaucoup, vite suivie par un doigt, on savait l’un comme l’autre comment ça allait finir. La première tentative de sodomie avait tourné court, je me pensais prête parce qu’il avait un peu fait aller et venir un doigt humecté de salive dans ...
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