COLLECTION JEUNE – VIEUX. Camping à la ferme (1/2)
Datte: 14/07/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... c’est un vermisseau que je prends en main.
Le froid a fait son effet, je le sors et ma bouche veut le saisir, impossible tellement il est riquiqui.
Ma langue fait le nécessaire sur son méat, ça le réveille et rapidement je peux lui faire une gorge profonde, il m’a tout appris, de mon dépucelage jusqu’à la sodomie qu’il a souhaité que j’apprenne à aimer.
C’est le seul moment où je lui ai légèrement menti, n’aimant pas cela particulièrement, il a dû le sentir, car depuis c’est rare que sa queue me perfore l’anus.
Il bande comme j’aime, il me renverse pour se placer sur moi et me pénétrer.
• Aie.
• Je t’ai fait mal mon cœur.
• Vite lève-toi, j’ai un caillou dans le dos, vite.
Il me libère, je me redresse, je place son pantalon sous mes genoux, j’adore la position en levrette trouvant qu’il me pénètre pleinement, il aime aussi et c’est bien plus loin dans mon vagin que je hurle de plaisir comme les louves doivent le faire dans cette zone forestière.
Un peu fatigué, l’orage est près d’éclater, à la sortie d’une forêt une ferme certainement habitée de la fumée sortant de sa cheminée se dresse devant nous.
Devant sa grange, un homme sans âge, la clope à la bouche nous regarde arriver, son chien immense couché à ses pieds, il se redresse nous montrant ces crocs.
• Couchez Brutus, ça va les Parigots, on se promène !
• Comment savez-vous que nous sommes parisiens ?
• Tous ces mecs qui passent dans le coin portant des kilos sur leur dos, ce sont ...
... tous des Parigots.
• Peut-on camper devant chez vous ?
• Vous avez oublié les bonnes manières.
• Non, pourquoi ?
• Même ici on dit, Monsieur, mieux vous dites monsieur Paul.
• Excusez, monsieur Paul, pouvons-nous camper.
• Et dans une heure, tu viendras m’emmerder, car des trombes d’eau entreront dans ta tente, viens dans ma grange, vous serez à l’abri.
Il est bourru, il me fait presque peur, mais je dois reconnaître qu’il prend soin de nous, il est vrai que nous commençons à entendre le tonnerre.
• Le sol est dur impossible de planter notre tente.
• Prend de la paille, ça fait de très bonnes litières, je vais me coucher, demain je me lève tôt.
Il nous quitte, nous nous préparons une litière, coucher dans le foin avec la lampe au-dessus de nos têtes comme témoin, je sors le réchaud à alcool pour réchauffer notre boîte de cassoulet que Claude porte dans son sac.
Mon chéri vient de partir, quand il revient.
• Regarde Julie, laisse tomber le cassoulet, il y a un poulailler derrière la grange, j’ai récupéré six œufs, pour nous confectionner une omelette avec ces deux tomates que j’ai prises dans le jardin.
• Tu es fou, que va dire monsieur Paul, c’est du vol.
• Il en a des dizaines, il n’y verra rien.
• Tu me fais peur, tu as vu, comment il est, on dirait un ours et ta vue son chien, il me fait peur.
• N’est crainte chérie, je serais là pour te protéger.
Nous mangeons avec appétit, même si je ne suis pas rassurée, d’autant plus que ...