1. La stagiaire, le technicien et le chariot


    Datte: 14/07/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, couleurs, Collègues / Travail chaussures, Oral pénétratio, totalsexe, Auteur: Flamenco, Source: Revebebe

    ... envie de la prendre, elle aussi, quelques temps avant. J’avais du mal à réaliser ce qu’il était en train de se passer : Sofia était penchée, sur le chariot, les reins cambrés, le legging ouvert, béant, la jambe droite relevée, la botte calée sur la barre, et ses lèvres coulissantes autour de ma queue bien raide. Cela ressemblait à un rêve !
    
    Je me suis bien appuyé sur elle, pendant que je remontais entre ses chairs, faisant bien racler ma queue, entre ses muqueuses. J’ai remonté ma main gauche sous sa tunique, cherchant un passage sous l’espèce de brassière lui maintenant la poitrine, pendant que ma main droite continuait à titiller son clitoris. Je lui râlais dans l’oreille, en humant son parfum : je l’avais bien en main. C’était une demoiselle à mensurations respectables : un mètre soixante-cinq environ, pour cinquante kilos, je dirais, et une poitrine tout à fait correcte. J’allais et venais, lui faisant sentir au maximum ma queue en elle. Puis, je suis arrivé à son mamelon gauche, que j’ai pris à pleine main, et que je malaxai au même rythme que je la fourrais. Elle gémissait, dans le même rythme, comme si c’était mon jouet. Je la travaillais bien en profondeur, d’abord calmement. Elle prenait le temps d’apprécier… Je faisais juste accélérer ma main, et mes doigts autour de son clitoris. Puis, je me suis penché à son oreille et je l’ai provoquée :
    
    — Sofia, tu… te fais souvent prendre comme ça, dans les salles techniques ?
    
    J’ai d’abord juste entendu une plainte, ...
    ... et un mot lâché, comme un gémissement :
    
    — Mmmhh… Énorme !
    
    C’est moi qui étais énorme, à en juger ses gémissements plaintifs, couinants. Je me la suis joué provocant, et elle est rentrée dans le jeu. Je ne sais pas si elle mentait ou pas :
    
    — Mmmhh… À ton avis, Tom ? Pourquoi mon chef me suggère de venir toujours habillée comme vous aimez tous ?
    
    Elle a un peu enjolivé les choses, je pense, sur ce coup. Mais cela m’allait très bien à ce moment-là : cela m’a encouragé, et inspiré l’envie de lui donner un bon coup de rein, bien au fond, qui l’a fait sursauter encore sur sa botte à terre, et déplacer le chariot. Celui-ci a butté contre la baie des routeurs, en face de nous… Cette salope m’excitait à mort ! J’étais fou ! Je le suis encore en y repensant. J’adorais la fourrer de plus en plus sèchement, donnant maintenant une impulsion, à chaque fois que je l’enfilais. Je savourais voir ses cheveux voler un peu, et entendre son cri à peine retenu, à mesure que le chariot remuait un peu. La température montait : je prenais plaisir à la remuer de plus en plus, la manipulant comme une poupée, prisonnière, embrochée sur moi, avec son allure de pétasse, qui se fait prendre… à son propre jeu ! Je continuais à la prendre de plus en plus fort, lui lâchant le clito, et en venant lui caresser sa jambe, calée sur la botte, qui remuait, fléchissait, transpirait. Je la caressais, et la griffais un peu, pendant que le chariot grinçait sous nos efforts.
    
    J’étais en train de la fourrer ...
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