La stagiaire, le technicien et le chariot
Datte: 14/07/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
couleurs,
Collègues / Travail
chaussures,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
Auteur: Flamenco, Source: Revebebe
... frétiller.
Je lui ai resucé un peu le clitoris, en l’aspirant bien comme il faut, en m’amusant à la faire couiner. Et je me suis remis debout, lentement, en laissant bien ma queue glisser tout le long, entre ses jambes, de façon à ce qu’elle la sente bien. Je me suis relevé, et j’ai redécouvert son visage, qui n’avait rien à voir avec celui, fier, qu’elle arborait jusqu’alors. Là, elle ressemblait à une petit chienne en chaleur, bouche mi-ouverte, yeux louchant sur moi, et qui n’attendait que de se faire prendre. Je l’ai prise par les hanches, bien en main, et l’ai retournée lentement, entre moi et le chariot, en lui demandant d’un ton aussi calme que je le pouvais :
— Sofia… J’espère que tu prends tes précautions mensuelles, hein. Car je ne suis pas du genre à aimer le latex. Sinon, on ira à la pharmacie après le taf… lui lâchai-je dans l’oreille.
— Aucun problème, je… j’ai l’habitude, a-t-elle répondu, d’une voix timide, essoufflée.
Cette réponse a fini de me pousser à bout ! Je l’ai calée contre le chariot, dos à moi. J’ai soulevé sa tunique, et glissé de nouveau ma queue entre ses cuisses, mon gland cherchant sa place.
Je l’ai cambrée sur le chariot, ses cheveux tombant de ses épaules le long de son visage. J’ai pris sa cuisse droite, et l’ai soulevée, pour lui caler la botte sur une barre du chariot, de façon à l’ouvrir un peu. J’ai collé mon gland contre sa vulve : je me suis collé dans son dos, et lui respirais à l’oreille, en lui caressant les seins à ...
... travers sa tunique, et en commençant à lui écarter les lèvres, avec mon gland gourmand.
Je lui ai caressé la jambe calée, par sa botte, remontant sur son genou, sa cuisse chaude, et crispée d’appréhension. Je suis passé sous sa tunique, rejoignant son clitoris tout dur. Et, le remuant un peu, en lui léchant l’oreille, j’avançais, et reculais, presqu’en elle. J’allais, et venais, écartant à chaque fois un peu plus la demoiselle, qui semblait suffoquer à ce moment : suffoquer d’envie. Et je lui ai glissé à l’oreille :
— Je vais te défoncer, petite salope !
Je pensais qu’elle allait être surprise, mais c’est plutôt moi qui l’ai été, surpris, car elle a ricané à ce moment-là, ce qui m’a un peu énervé. Du coup, je l’ai enfilée d’un coup de rein sec ! Je l’ai prise bien à fond, comme pour la punir de ce petit rire ! J’ai entendu un gémissement retenu, et ses talons retomber sur le sol.
J’ai redescendu ma main sur sa hanche, pour bien la prendre en main. Et, en lui titillant le clitoris, j’ai commencé à la pénétrer bien profond, faisant mon passage, collé dans son dos, et lui susurrant à l’oreille :
— Mmmhh… Sofia ! Depuis le temps que je rêvais de ça !
J’ai commencé à la secouer grave, allant bien loin en elle. Sa tête bougeait, penchée sur le chariot ; ses cheveux se balançaient. Et j’ai regardé son mollet dans sa botte, qui se contractait. J’ai pensé à la fille de Facebook, Lilya, et à ses bottes qui m’inspiraient. Je me suis dit que c’était comme ça que j’avais eu ...