1. Redécouvrir la sexualité de sa femme (1)


    Datte: 13/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Gnox100, Source: Xstory

    ... de redécouvrir le corps de ma femme, de retrouver ce qui m’avait tant plu chez elle 15 ans plus tôt ! Angélique, que je n’avais plus vue nue depuis bien longtemps (elle dormait en pyjama et je n’osais plus la déranger sous la douche), était encore parfaitement bien conservée pour une femme de 46 ans ! Ses seins étaient certes moins fermes qu’auparavant, mais je pris rapidement goût à téter ces collines moelleuses. Elle m’autorisa même à y placer mon pénis, commençant ainsi notre rapport par une branlette espagnole !
    
    Notre coït se poursuivit par une masturbation mutuelle. J’avais oublié la douceur de sa chatte, cette vulve qui avait donné la vie. J’y introduisis ma langue, ainsi que plusieurs doigts. Son corps ne tarda pas à produire un précieux liquide que je m’empressais de savourer. Angélique mouilla abondamment durant de longues minutes, preuve qu’elle ne s’était pas vidée depuis longtemps. Quant à moi, j’eus le plaisir de me faire sucer langoureusement jusqu’à l’éjaculation, que ma femme avala jusqu’à la dernière goutte. Aucune amante, Éva comprise, ne m’avait sucé avec autant d’amour.
    
    Lorsque nous passâmes au rapport vaginal, Angélique refusa catégoriquement que j’enfile un préservatif. Elle voulait sentir la peau de mon sexe contre la sienne, recevoir à nouveau ma semence divine. Je respectais son choix et commençais à la baiser en levrette, afin de rendre hommage à notre première rencontre. Sa chatte, moins serrée que celle juvénile d’Éva, était un bonheur à ...
    ... piner. J’aurais pu y rester des heures tant je m’y sentais bien. Angélique encaissait amoureusement mes va-et-vient violents en poussant de grands cris. Je ne l’avais jamais entendue gémir aussi fort ! Elle me criait les pires obscénités : "je suis ta pute !", "baise ma chatte" ou bien "branle mon gros cul !".
    
    Au bout d’un certain temps, je me décidais à l’enculer. Nous n’avions que rarement pratiqué la sodomie, même au début de notre relation. Il me fallut m’appliquer pour enfoncer dans son intégralité mon chibre vigoureux dans son anus, mais j’y parvins tout de même ! Là aussi, ce fut une expérience indescriptible. Angélique bougeait les fesses pendant l’acte, s’enfonçant d’elle-même sur toute la longueur de mon pénis. Mon engin était prisonnier de son trou protégé par ses fesses rebondies sur lesquelles je crachais irrespectueusement. Je n’avais plus l’impression de baiser la femme de mon fils, celle avec qui j’avais passé 7 ans d’abstinence et que je trompais sans vergogne avec une minette de 19 ans. Je baisais une véritable salope, une accro au sexe !
    
    Au total, cette soirée vit mon sexe cracher trois fois. Une fois dans sa bouche, une autre fois dans son anus et une dernière fois dans son vagin que je pris plaisir à repénétrer après notre sodomie. Ma dernière éjaculation était loin d’être spectaculaire, mais visiblement assez puissante pour procurer un orgasme si intense à ma femme qu’elle gicla plus fort que jamais. Notre lit était humide tant les draps y étaient ...