1. Redécouvrir la sexualité de sa femme (1)


    Datte: 13/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Gnox100, Source: Xstory

    J’avais rencontré Angélique lors du mariage d’un ami commun. Nous étions deux trentenaires célibataires que l’alcool ne tarda pas à rapprocher, aussi bien sentimentalement que physiquement, puisque nous finîmes la soirée en levrette dans les toilettes de la mairie ! Je n’avais pu résister à cette brune aux yeux bleus, dont la robe noire avait échoué à cacher ses formes généreuses. La semaine suivante, nous débutâmes une relation qui déboucha même sur un mariage civil un an plus tard. J’étais comblé, Angélique me paraissait à l’époque être la femme parfaite.
    
    A l’aube de ses 40 ans, ma femme tomba enceinte de notre premier enfant. Au contraire d’autres couples dans la même situation, notre sexualité ne connut pas de sursaut, elle dépérit. Je n’avais plus aucun désir pour elle, n’étant pas (par exemple) admirateur des gros seins laiteux dont Angélique se trouva nouvellement pourvue. Cette abstinence perdura après la naissance de notre fils, qui prit une place prépondérante dans notre intimité. Ce passage à vide, à l’origine provisoire, dura 7 ans.
    
    Comprenant bien vite que la masturbation ne pourrait satisfaire l’entièreté de mes besoins, je commençai à fréquenter d’autres femmes, toutes plus jeunes que moi. Je parvins même à réaliser le fantasme de beaucoup d’hommes de mon âge : me taper une jeunette. Elle avait 19 ans, s’appelait Éva, et était la fille de nos voisins. Cette délurée ne cherchait qu’à s’envoyer en l’air, et cela me convenait parfaitement. Notre premier ...
    ... rapport ne dura pas très longtemps, du fait de son manque d’expérience, mais me permit de redécouvrir le plaisir de la sodomie. Ce fut d’ailleurs le seul de mes rapports extra-conjugaux où je consentis à retirer mon préservatif, afin de lui cracher ma semence au visage.
    
    Toutefois, et contre toute attente, Éva s’attacha à moi. Cette blondinette développa une véritable dépendance sexuelle vis-à-vis de moi ! La fréquence de nos rapports évolua rapidement, passant d’un coït par semaine à un coït par jour ! Nous cacher devint un véritable challenge. Il nous arrivait régulièrement de faire ça dans les bois tant la crainte d’être surpris était grande. Éva effaçait les traces de nos actes en buvant mon sperme et en enterrant les capotes sous un vieil arbre. Elle savait se montrer inventive lorsqu’il s’agissait de sexe.
    
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    Angélique ne soupçonna jamais mes tromperies, mais s’aperçut néanmoins de la longévité de notre abstinence. Elle en souffrait également. C’est ainsi qu’après un débat particulièrement tendu sur le sujet, elle m’imposa un ultimatum : en cas de non-rapport sexuel avant la fin de la semaine, elle quitterait le domicile conjugal avec notre fils. Je pris très au sérieux cette menace, ne souhaitant pas voir ma vie de famille s’effondrer. Je promis donc à Angélique de coucher avec elle dès le lendemain soir, bien que je n’en ressentais pas l’envie.
    
    Pourtant, cette baise se trouva être, à mon grand étonnement, l’une des meilleures de ma vie ! J’eus l’impression ...
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