Haoua, vendeuse de galettes. Première partie : la
Datte: 13/07/2018,
Catégories:
Humour
Première fois
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... un bidonville ! C’est très beau chez toi !
Elle me sauta au cou pour m’embrasser; sur les deux joues, cette fois-ci. Je l’éloignai de moi, parce que je commençai à sentir des frémissements inquiétant au niveau du bas ventre. Je ne voulais pas aller plus loin. Je la pris par la main pour lui montrer la salle de bain.
- Va prendre un bain bien chaud. Cela va te reposer. Je vais t’apporter une serviette et une sortie de bain !
Je la laissai dans la salle de bain et allai farfouiller dans l’armoire de la chambre pour y trouver une grande serviette et une sortie de bain, que je lui ramenai. Et miracle ! Je la trouvai qui avait enlevé sa tenue islamique (hidjab et khymar) et était restée tête nue, avec une chemise à manches courtes et un pantalon en toile de jean. Elle était totalement différente de la jeune femme que je pensais connaître; c’était comme si elle avait enlevé un masque hideux, qui cachait totalement ses charmes. Et des charmes elle en avait beaucoup : des cheveux noirs, longs, raides regroupés en une large tresse; un cou fin, long, à la peau lisse et brillante; une poitrine juvénile, portant des petits seins hauts perchés et tendus vers l’avant; des épaules larges et rondes; des bras longs et fins; une taille de guêpe; des hanches étroites; un fessier rond et relevé; de longues jambes au merveilleux galbe transparaissant sous le jean moulant; une peau mâte et brillante. C’était une autre jeune femme que je découvrais ! Une belle plante, mal nourrie, encore ...
... à l’état brut, mais vraiment magnifique ! (Bizarrement, elle me faisait penser à la magnifique chanson de Georges Brassens : Les sabots d’Hélène !)
- Je ne pensais pas que tu étais aussi belle ! ne pus-je m’empêcher de lui dire.
Elle rit de bon cœur et me sauta au cou, encore une fois, pour m’embrasser sur les joues, en collant son corps au mien et en frottant sa poitrine contre la mienne. Je sentis mon sexe frémir et une douce chaleur irradier en moi. Je me retins de la serrer contre moi, comme j’en avais vraiment envie. Je m’éloignais d’elle et lui tendis la serviette et la sortie de bain, et la laissai prendre son bain.
J’allais dans la cuisine pour préparer le dîner avec ce qui se trouvait dans le réfrigérateur : deux grosses tranches de foie, des frites congelées, de la salade verte, des fruits, des yaourts et du jus. Quand elle sortit de la salle de bain, elle appela pour savoir où je me trouvais et me rejoignis dans la cuisine. Elle entra dans la cuisine, emmitouflée dans la sortie de bain qui traînait par terre et avec une serviette sur la tête, pour sécher ses cheveux. J’avais préparé la table et l’invitais à venir s’assoir pour manger. Elle avait les yeux qui brillaient de gourmandise, en voyant tous les plats étalés sur la table.
- Je peux manger ?
- Bien sûr que tu peux manger ! Il n’y avait pas grand-chose dans le frigo. Demain je le remplirai.
Elle me regardait avec des yeux pleins de reconnaissance. Je compris alors pourquoi elle était maigre. ...