1. Manu s'invite (4)


    Datte: 13/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sherab, Source: Hds

    ... moment, je sens le corps de Manu pris d’un tremblement et d’un haut-le-cœur simultané. Le pompé étant à même de lui vider les couilles au fond de la gorge, elle ne fournit pas à avaler. D’autant plus que les spasmes de son orgasme lui bloquent la déglutition. Elle s’en tire en expulsant le membre, en recrachant le trop-plein sur les tennis du client. Il lui faut deux ou trois minutes pour retrouver sa respiration et arrêter de tousser. Bonne fille, toujours généreuse, elle achève cependant, en quelques coups de langue, le nettoyage de la queue toujours raidie. Le mec remballe maladroitement l’objet en tension en se retirant sans plus de commentaires. Dès qu’il a rejoint ses potes, la Mercédès fait demi-tour pour reprendre sa route vers le sud.
    
    Certaine que ma bite bat la chamade, Manu me regarde maintenant, remplie de mes doigts obstruant tous ses trous. Elle attend, impatiente de m’offrir le meilleur, pour boucler avec moi le « happy end » de cette partie surréaliste.
    
    -Encule-moi, Jean-Christophe. Mets-moi ta bite bien au fond. Tout de suite. Je suis prête, lance-t-elle en ...
    ... enjambant le levier de vitesse pour se retrouver à califourchon sur moi, face au volant.
    
    Opportunément, j’ai profité de son changement de position pour dégainer ma queue tendue, il ne faut pas longtemps à Manu pour offrir, en l’empalant profond, son anus ouvert. Elle est étroite, elle me comprime le gland autant qu’un puceau de quinze ans. Bloqué entre le siège et la belle, je ne peux compter que sur l’ardeur de ma cavalière pour parvenir à l’extase. Accrochée au volant, elle donne du cul au point que l’effet de pompe produit un bruit de succion assez glauque. Qu’importe, Manu m’astique formidablement le dard, je ne tarde pas à perdre le contrôle. Au bout de quelques minutes, je la tire violemment vers mon sexe en la prenant aux épaules. Je laisse partir le coup dans ses entrailles. Manu jouit de nouveau. C’est beau, la jeunesse !
    
    Le temps quand même de reprendre notre souffle, nous retournons, tous les deux cette fois, vers les sanisettes pour tenter de nettoyer autant que faire se peut, les traces de nos ébats avant de reprendre la route.
    
    Ce n’est pas si mal que ça Blablacar finalement. 
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