1. Manu s'invite (4)


    Datte: 13/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sherab, Source: Hds

    ... cigarette devant la porte que la pisseuse vient juste de clore. L’instant suivant, la cabine s’ouvre et loin d’être surprise, Manu attrape le gaillard par un bras pour l’attirer prestement dans l’antre. J’en suis sur le cul.
    
    Je lui gueule carrément dessus quand, au bout d’un quart d’heure elle revient dans la voiture complètement ébouriffée.
    
    - Ça ne va pas ? Tu n’es pas bien ? Tu te comportes comme une vraie salope ce soir, tu me dégoûtes !
    
    - Putain, il m’a démonté la chatte, je n’en reviens pas !
    
    - Mets ta ceinture, on y va maintenant…
    
    Au moment où je m’apprête à passer la marche arrière, j’entends frapper à la vitre, côté Manu, laquelle n’hésite pas à débloquer aussitôt la porte. J’entends :
    
    - Tu as fait beaucoup de bien à mes copains ce soir, il te resterait une gâterie pour leur grand frère ? demande le troisième gars, la bite à la main.
    
    - Vite fait alors, lui lance-t-elle en pivotant sur ses fesses, tendant déjà le cou.
    
    Je n’en crois pas mes yeux. Le gars prend alors appui des deux coudes, l’un sur la portière, l’autre sur le toit de l’Audi. Il attend l’officiante comme une évidence, avec l’aisance du gars qui viendrait juste chopiner une bière au bistrot du coin. Je coupe le moteur. Manu saisie la paire de couilles déjà dégagées de la braguette, les bouscule un peu de sa petite main, au point que le zob bien décalotté remonte aussitôt pour se tendre au droit. De l’autre, elle empoigne adroitement la tige, entamant un va-et-vient délicat, d’abord ...
    ... en revenant régulièrement sur le gland, parfois en frappant le pubis, tirant, à le faire péter, le frein du prépuce.
    
    Sa position inconfortable ne donne pas l’avantage à Manu, au bout de dix minutes, elle sent la fatigue gagner son poignet. Espérant sûrement accélérer l’affaire pour en précipiter la conclusion, elle embouche l’objet, en forçant malgré tout sa mâchoire étroite. Pour ce faire, elle a dû se mettre à genoux sur le siège passager et me tourner le dos en exposant ses fesses qui ne me laissent jamais insensible. Du coup, je ne vois plus rien de cette pipe sauvage. Comme souvent, son cul me rend fou. Dans l’impossibilité de la foutre dans cette position, je me contente de la doigter pendant qu’elle tête avec gourmandise cet énorme concombre de chair. Sa cramouille sent le sperme à en vomir, elle est encore humide des deux giclées d’avant, mes doigts la fouille sans obstacle. Je dois dire qu’elle y met du sien pour faciliter la pénétration. La bite du pompé est tellement longue que pour l’engloutir, elle doit bouger tout son corps d’avant en arrière. Je la laisse manœuvrer, elle semble savourer les deux doigts que je lui glisse dans la moule. A un moment, elle reprend son souffle et me lance :
    
    - Plus au fond, Jean-Christophe, vieux salaud, bourre tes doigts, fourre ton pouce dans mon cul, je vais jouir…
    
    Trouvant sur place, sans difficulté, de quoi lubrifier l’orifice, je pose mon pouce sur sa rosette, laquelle, d’elle-même, s’entrouvre et m’aspire.
    
    Au même ...