1. La gentille Bourgeoise...


    Datte: 13/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... excitantes.
    
    - Nous ne risquons pas d’être dérangé, là ?
    
    - Pas le moins du monde. Ma belle-sœur est avec toute sa famille en vacance chez sa mère.
    
    - Alors ! Elle n’est plus célibataire ?
    
    - Oh ! Oui pardon, j’ai menti. Elle ne l’a jamais été.
    
    - C’est bien ce que j’avais deviné. Fis-je en me déshabillant, impatient de faire frémir de corps, offert.
    
    Pendant ce temps Geneviève s’était appuyé le dos à la tête du lit. Les jambes écartées exhibant son sexe. Tout en le fixant, je pris son pied. Que je caressais, effleurais, massais, chatouillais. Du talon aux orteils. Décelant que cette caresse ne la laisser pas indifférente. Au point qu’elle commençait à haleter et à gémir, tout en lorgnant ma queue. Je léchais la plante sur toute sa longueur, à grands coups de langue. La faisant gémir de plus belle.
    
    Puis je m’attaquais à son sexe, portant mon index jusqu’au
    
    Bas de sa fente. Et le fis remonter jusqu’à effleurer le clitoris. Je sentais que son vagin réagissait en s’entrouvrant. Je n’ai pas pu résister à la tentation d’enfoncer mon doigt dans le marécage. Dont l’odeur piquante arrivait jusqu’à mes narines.
    
    À l’aide de deux doigts en fourchette, j’ouvrais le haut de sa fente, dégageant son bouton. Je me mis à caresser d’un doigt gluant de mouille. Ça devenait bon pour elle. Très bon même, au point qu’elle écarta tant qu’elle pouvait ses cuisses en grand. Son souffle s’accéléra, ses joues s’échauffaient. Son bouton devenait très gros et ultrasensible. ...
    ... J’approchais alors ma bouche. J’y allais à grands coups de langue et elle haletait de plus belle. À un moment, je pris le clitoris dans ma bouche et le pinçais entre mes dents protégées par ses lèvres. Elle cria et s’ouvrit davantage ses doigts pressèrent ma nuque. La dureté et la dimension du bouton me surprenait. Je le sentis fondre sur ma langue. La mouille coulait dans ma bouche. Elle était proche de jouir, la violence de ses sursauts, la véhémence de ses injections m’effrayaient. Docilement, j’écrasais le clitoris sous mes gencives et le léchais très vite.
    
    Elle se démenait en couinant sur le lit. Puis Geneviève se figea en haletant. Puis après un sursaut, elle poussait des cris et agitait son bassin et ses cuisses avant de s’immobilisé, alors que je poursuivais mes succions, mes mordillements et les va-et-vient de mon doigts que je lui avais enfilé dans son anus. Qui s’élargissait en perdant presque autant de sécrétion que son vagin. Je trouvais cela écœurant et excitant à la fois. Elle me repoussa violemment.
    
    - Arrête, maintenant, tu vas me faire crever ! Qu’est-ce que tu m’as fait jouir.
    
    Puis elle ondulait un peu ses fesses et ajoutait :
    
    - Fais-moi l’amour Alain. Je veux te sentir dans ma chatte.
    
    Il m’en fallut pas plus pour me placer entre ses jambes. Frottant ma verge contre son sexe avant de m‘enfoncer en elle.
    
    - C’est bon. Je la sens bien ! Et toi Alain !
    
    Cette Geneviève était surprenante.
    
    - Je suis entièrement en vous. C’est délicieux ! J’ai ...
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