Ophélie en goguette : des vacances idéales
Datte: 13/07/2018,
Catégories:
hh,
vacances,
bateau,
BDSM / Fétichisme
hféminisé,
Transexuels
hsodo,
Auteur: Ophélie, Source: Revebebe
... je manifestais au serveur mon intention de payer, mon voisin me demanda si je n’avais pas des projets pressants pour la suite de la journée, auquel cas il se ferait un plaisir de m’inviter à dîner. N’ayant rien d’urgent à faire, cet homme n’étant pas trop désagréable à regarder ni à écouter, j’acceptai son offre. J’allai faire une brève visite aux toilettes pour m’assurer du bon état de mon maquillage et de ma coiffure. Satisfaite de mon examen, je retournai auprès de mon compagnon du jour et nous nous en allâmes. Il me conduisit à sa voiture, située dans le parking souterrain d’un centre commercial urbain et me dit qu’il voulait me conduire dans un restaurant qu’il connaissait bien, en dehors de la ville, avec une superbe terrasse au bord du lac.
Il m’ouvrit la portière côté passager et je m’installai là aussi en faisant voler ma jupe autour de moi pour poser mes fesses sur le cuir du coupé sport. Je réalisai que je ne l’avais fait qu’en le voyant tenir la porte une seconde de trop au lieu de la fermer immédiatement. Une fois de plus, le rouge me monta aux joues et je me promis de faire attention la prochaine fois que je m’assiérais. Il était trop tard pour que je mette ma jupe sous mes fesses ; l’habitacle étant assez réduit, j’aurais dû sortir et me montrer ridicule. J’essayai donc de plaquer ma jupe contre mes jambes, mais cela ne paraissait pas très naturel et je laissai mes mains jointes sur mes cuisses. Le pommeau de vitesses était très bas et les sièges étant assez ...
... rapprochés, sa main effleurait ma jambe à chaque changement de vitesse. J’avais voulu les pencher de côté, mais cela avait fait remonter ma jupe et le résultat était encore pire puisqu’il attirait le regard de mon compagnon et que cela risquait de lui faire provoquer un accident. Puisqu’il n’avait pas de geste déplacé, je laissai donc sa main effleurer ma jambe, et tout le long du trajet nous pûmes bavarder encore un peu. Je lui fis plaisir en m’intéressant à la voiture et à ses performances. Il m’avoua qu’il aimait bien les coupés sport et que dans son garage privé il en avait encore trois autres. J’avais remarqué qu’il ne portait pas d’alliance, ce devait être un play-boy invétéré qui ne s’encombre pas d’une femme à demeure et préfère butiner toutes les fleurs passant à sa portée. Son parfum était agréable, pas trop corsé, légèrement citronné, et ce qui me plaisait en lui c’est qu’en plus il n’était pas fumeur. Je déteste sentir la fumée sur quelqu’un.
Le restaurant était superbe, la terrasse ombragée accueillait des fauteuils confortables, pas trop raides, pour manger.
Il me proposa de prendre un apéritif et commanda du champagne. Le repas fut agréable, et la conversation de mon compagnon très divertissante. À plusieurs reprises au cours du repas, il essaya de mettre sa main sur la mienne, que je laissais traîner sur la table, mais j’esquivais aussitôt, l’air de rien. La vue de plusieurs baigneurs me donna une folle envie de me tremper également. J’en fis part à mon ...