1. Ophélie en goguette : des vacances idéales


    Datte: 13/07/2018, Catégories: hh, vacances, bateau, BDSM / Fétichisme hféminisé, Transexuels hsodo, Auteur: Ophélie, Source: Revebebe

    ... mammaires, que j’avais payé un prix de fou, collaient à ma peau et je ressentais leur poids et leur balancement à mes moindres mouvements. Chantal me prêta main-forte pour agrafer mon soutien-gorge, tout en me félicitant de cette superbe poitrine qu’elle m’enviait un peu, la sienne ayant déjà la mauvaise tendance à être trahie par le sens de gravité. J’avais pris un balconnet, mes seins faisaient un bel arrondi sur ma poitrine, dessinant un beau sillon entre les deux globes. J’hésitais à mettre un serre-taille, mais Chantal me conseilla de le mettre pour souligner mes hanches et affiner ma taille. Elle me vint encore en aide pour serrer le plus fortement possible les attaches au dos ; je pouvais à peine respirer, mais je me décontractai, me laissai aller à respirer tranquillement, et tout redevint normal.
    
    Je me tournai vers le miroir, je pus admirer une femme sexy qui me souriait. J’étais heureuse.
    
    Comme nous étions au début de l’été, je ne voulais pas mettre de bas. Chantal me fit remarquer que ce serait dommage de ne pas profiter des attaches de mon serre-taille.
    
    Je me rendis à son avis en pensant que des bas m’aideraient pour enfiler mes escarpins plus facilement, d’ailleurs ils étaient très légers et de couleur chair, ce fut un régal que de sentir ce doux voile caresser mes jambes. Une fois attachés ils faisaient un peu briller celles-ci. J’enfilai par le bas, une robe légèrement plissée bleu marine à petits pois. Celle-ci se boutonnait depuis la taille jusqu’au ...
    ... décolleté qui s’arrêtait au milieu de ma poitrine rebondie, elle couvrait juste mes genoux et deux larges bretelles cachaient celles du soutien-gorge.
    
    Je chaussai mes escarpins à talons de cinq centimètres, ce qui me fit encore un peu plus grandir. J’allais passer pour une géante style basketteuse, me dit Chantal. Nous en rîmes, complices.
    
    Il manquait encore un accessoire essentiel à ma facture, une perruque ! Je l’avais achetée dans un magasin spécialisé, et choisie, après plusieurs essayages, pas trop longue. Elle caressait mes épaules sans les recouvrir et dans ma teinte naturelle ce qui donnait un air plus authentique à mon aspect général. Chantal me donna encore un coup de main pour la poser et la coiffer. J’étais prête, enfin presque, il me restait à mettre encore les indispensables attributs de la femme, les accessoires indispensables que sont les boucles d’oreilles, un pendentif, une petite montre et quelques bagues aux deux mains.
    
    L’image que me renvoyait cette fois le miroir était celle d’une femme sur laquelle en étant un homme, je me retournerais volontiers dans la rue. Satisfaite du résultat, j’invitai Chantal à venir souper avec moi, car toute cette transformation m’avait ouvert l’appétit et je n’avais qu’une hâte, celle de sortir à l’air pour pouvoir me faire admirer et goûter au plaisir d’être femme dans la vie de tous les jours.
    
    Chantal me fit remarquer que je marchais de façon très féminine et avec naturel, je lui dis que je m’étais déjà souvent ...
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